Le tournoi sportif
Pour le tournoi sportif, nous avons commencé par trois parties de ballon prisonnier, il fallait jouer avec trois balles. Chaque personne était avec son correspondant et d’autres binômes.
Ensuite nous avons fait une course de relais en plusieurs manches avec les mêmes équipes que pour le ballon prisonnier:
-1ère manche: il fallait courir en avant à l’aller et en arrière au retour,
-2ème manche: il fallait courir un aller-retour avec des petits tapis aux pieds (c’était dur de ne pas tomber !).
-3ème manche: il fallait être deux par deux chacun son tour, une personne était assise sur ces tapis et l’autre la tirait avec une corde (c’était le manche la plus fatigante !).
J’ai adoré cette journée, c’était une de mes activités préférées ! 🙂
Sortie au cinéma Bel Air : Wadjda de AL-MANSOUR-Haifaa
Les élèves de 6B et 6D sont allés voir au cinéma Bel Air le film Wadjda le jeudi 28 mai dans le cadre du projet de la Semaine de la Mixité au Collège, accompagnés par Mme Parageaud, Mme Muller, Mme Heringer et M. Taquard.
Les élèves de 6B et 6D sont venus au CDI pour préparer cette sortie pendant 2 heures.
Ils ont travaillé par équipes mixtes de 2 élèves.
Vous pouvez consulter ici le projet de la sortie :
Fiche descriptive Recherche documentaire sur Wadjda
et le questionnaire préparatoire rempli par les élèves :
AL-MANSOUR-Haifaa, réalisatrice de Wadjda
Bilan des élèves
Les élèves ont été frappés par la condition féminine en Arabie Saoudite :
Un homme peut avoir plusieurs femmes, les femmes doivent être sans cesse cachées face au regard de l’homme, elles ne peuvent pas conduire, ni même faire de vélo.
Elles sont dans une relation de dépendance vis à vis des hommes.
Celles qui travaillent en dehors de leur maison sont mal vues.
Après la projection nous avons échangé avec les élèves sur l’évolution de la condition féminine en France.
Les lois actuelles sont dans certains cas assez récentes.
Nous avons échangé avec les élèves autour de quelques dates clés.
Le droit de porter un pantalon en France date de 2013 !
Avant une femme était considérée comme travestie par la loi.
A partir de 1800 une femme voulant mettre un pantalon devait en faire la demande à la Préfecture !
En 1892, il y a eu une dérogation quand une femme était à cheval ou à vélo !
Caricature de George Sand en pantalon, 1848
La femme comme personne autonome devant la loi
En 1804 : La femme est sous l’autorité de son mari après avoir été sous celle de ses parents.
Elle ne peut pas décider de divorcer par exemple.
En 1938 : Une femme a le droit de témoigner en justice
En 1944 : Les femmes peuvent être jury d’assises.
Aujourd’hui beaucoup de femmes sont magistrats en France :
« Bien qu’elles n’aient eu accès à ce corps de métier qu’en 1946, les femmes ont rapidement investi la profession et sont désormais majoritaires : elles représentent 80 % des diplômés de l’Ecole nationale de la magistrature (ENM) et près de 60 % des juges. »
(source : Le Monde)
L’éducation des filles
En 1863 : Les écoles secondaires pour les filles sont crées.
En 1861 : Première femme bachelière.
En 1880 : L’enseignement secondaire est organisé pour les filles, mais elles n’apprennent pas les mêmes choses que les garçons.
En 1924 : L’enseignement secondaire est enfin le même pour les filles et les garçons !
En 1975 : les écoles sont mixtes
En 1990 : les cours d’EPS sont mixtes.
Le travail et l’autonomie financière
En 1907 : La femme peut disposer de son salaire mais pas gérer ses autres biens.
En 1965 : Une femme peut ouvrir un compte en banque et exercer une profession sans l’autorisation de son mari.
En 1971 : La loi impose l’égalité salariale entre les hommes et les femmes pour un même travail.
Cette loi n’est à ce jour toujours pas respectée :
Actuellement il y a toujours 27 % d’écart salarial entre les hommes et les femmes à poste équivalent.
27 janvier 2011 : Promulgation de la loi relative à la représentation équilibrée des femmes et des hommes au sein des conseils d’administration et de surveillance et à l’égalité professionnelle. Ce texte prévoit l’instauration progressive de quotas pour aller vers la féminisation des instances dirigeantes des grandes entreprises, ainsi qu’un système de sanctions financières en cas de non-respect.
(Source : vie-publique.fr)
Très peu de femmes sont chef d’entreprise en France.
Et il n’y en a aucune dans les entreprises du CAC 40 (les plus riches de France).
La sexualité et la contraception
En 1920 : La contraception est un délit pénal.
En 1942 : L’avortement est considéré comme un crime contre l’Etat, il est passible de la peine de mort.
En 1975 : La loi Veil autorise l’IVG (Interuption Volontaire de Grossesse)
Simone Veil qui a porté la loi sur l’IVG le 17 janvier 1975
L’autorité parentale et la sphère familiale
En 1970 : La mère devient l’égale du père au niveau de l’autorité parentale.
Cependant le travail domestique est toujours effectué pour les 2/3 par les femmes !
La politique
En 1945 : Le droit de vote est accordé des femmes en France.
Avant on pensait que « les devoirs de mère et d’épouse seraient incompatibles avec l’exercice du droit de vote ».
(Source : France.fr)
Par comparaison :
« En 1893 : Octroi du droit de vote aux femmes en Nouvelle-Zélande, premier pays au monde à l’accorder ; la Grande-Bretagne (pour les femmes de plus de 30 ans jusqu’en 1928) , la Suède et l’Allemagne l’accordent en 1918, le Canada et les Pays-Bas en 1919, les États-Unis en 1920 (quelques États l’avaient déjà adopté avant ). »
(Source : vie-publique.fr)
En 2000 : La loi de la parité en politique
Mais cette parité n’existe pas encore en réalité.
« Dans les conseils généraux, les résultats sont pour l’instant décevants (12,9 % des conseillers généraux sont des femmes au 31 décembre 2010).
À l’échelon national, on ne compte encore que 18,5 % de femmes à l’Assemblée nationale et 21,8 % au Sénat. »
(Source : vie-publique.fr)
Bilan des professeurs
« Les élèves ont découvert des modes de vie différents et la place des femmes dans ce pays musulman. Ils ont été surpris par certaines règles et touchés par la persévérance de la petite fille. »
Mme Parageaud
La soirée franco-allemande
Je vais vous raconter cette extraordinaire soirée franco-allemande qui s’est déroulée à Nuremberg. Tout d’abord, vers 18 h, les chaises, le décor et toutes les autres choses étaient en place. Nous nous dirigeâmes aux vestiaires où tous les autres nous attendaient avec impatience. Je découvris en réalité que c’était des salles de classe. Les parents d’élèves commençaient à tout doucement venir et à s’asseoir. Ils s’étaient tous bien habillés pour cette soirée « d’au revoir ». Puis vers 18 h 30, les chaises étaient toutes prises sans exception, le stress était à son comble. Le spectacle fut lancé par Antoine et Hannah. On commença par la chanson de Yannick Noah « Aux arbres citoyens », un petit solo de Florestan, et la danse des Françaises. Après des applaudissements, la musique « über den Wolken » vint retentir dans les oreilles des parents mais un groupe d’Allemands chanta n’importe comment donc nous avons perdu le fil de la chanson mais heureusement que Mme Wafflart était là. Puis, pas une minute à perdre, tout le monde se dirigea aux vestiaires pour se changer mais surtout les mannequins qui devaient défiler avec leurs costumes. Nous étions appelés selon les groupes et l’ordre du défilé. Il y avait plusieurs groupes où les thèmes étaient différents. Il y avait les capsules Nespresso, le tissu, le papier, le bois, etc… Tous les costumes étaient plus beaux et insolites les uns que les autres. De plus, nous devions présenter nos costumes, c’est-à-dire que les
Allemands parlaient en français et les Français en allemand mais les textes étaient plutôt facile à lire. Après ce petit défilé de 30 minutes, la danse des Allemandes fut représentée, puis la dernière chanson nommée « Austauschlied » su émouvoir les parents. Après ce beau spectacle, nous cherchâmes nos affaires dans le vestiaire, puis direction la cantine où un buffet nous attendait.A notre grande surprise, il y avait plein de choses : des bretzels, des saucisses, des salades et bien d’autres choses. Vers 21 h, nous étions tous dehors. Tout le monde pleurait sauf quelques uns, nous savions que ce merveilleux séjour touchait à sa fin. Pour finir, on aida à ranger la soirée se termina et retour dans les familles. La soirée dura 3 heures.
Atelier danse pour les 4eE dans le cadre de la Semaine de la mixité au collège
M. Rosario Lanzafame, professeur de danse au Centre Bel Air et à l’AFSCO à Mulhouse, est venu le mardi 26 mai en cours d’EPS.
M. Monnier et Mme Dubocage ont également participé à cet atelier danse.
L’objectif était de faire découvrir deux danses de couple dans le carde de la semaine de la mixité : le rock et la salsa.
Voici quelques photos de cette animation.
Après un échauffement de madison,
les élèves ont appris le pas de base du rock ainsi que celui de la salsa.
Pas si facile de garder le rythme et de faire tourner sa cavalière !
Finalement tout le monde y arrive… même ceux qui n’ont jamais fait de danse.
Tout le monde finit par s’amuser.
A la fin de la salsa, on fait une grande roue.
Merci à Rosario Lanzafame pour ce bon moment partagé !
Merci aussi aux 4e E qui ont bien joué le jeu !
Voici leur avis sur cet atelier
Ils ont répondu au questionnaire suivant :
Voici les réponses :
LA MIXITE
Mais au fait d’après-toi depuis quand les écoles sont-elles devenues mixtes en France ?
vers 1850/60 : 2 vers 1960/1970 : 13 vers 1980/90 : 2
La bonne réponse était la 2e.
C’est la loi Haby qui impose la mixité dans les écoles en 1975 !
Et les cours d’EPS en France ?
vers 1930 : 6 vers 1960 : 6 vers 1990 : 5
La bonne réponse était la 3e.
Les résistances étaient fortes pour que les cours d’EPS soient mixtes.
Qu’est-ce que la mixité apporte d’après toi au collège ?
« Il faut travailler la mixité sinon on ne se mélange pas ».
« Le fait de pouvoir se mélanger sans gêne, d’avoir des amitiés avec des filles et des garçons pour chacun et chacune. »
« On peut apprendre à se connaître ». « Ca permet de ne pas avoir peur d’aller vers les autres. »
« Ca permet d’aller vers l’égalité entre les hommes et les femmes. »
« On peut former des couples mais aussi être amis entre filles et garçons ».
« Ca évite certains stéréotypes et favorise la mixité dans le futur. »
« Rien ! »
« Plus d’égalité ! »
« La mixité nous sert à nous voir égaux. On est tous dans la même classe et on apprend tous la même chose ! »
« L’amitié entre les filles et les garçons. »
« Ca permet de construire l’égalité homme femme dans les métiers, les loisirs et l’apprentissage. »
Qu’apporte la mixité en EPS ?
« Ca permet un travail d’équipe entre les filles et les garçons. »
« Rien ! »
« Cela apprend à être moins timide. »
« Des niveaux différents ». « Des activités diverses. »
« Elle montre que les filles peuvent être aussi douées que les garçons, ça diminue le sexisme. »
« Ca permet de faire des binômes mixtes. »
« Ca permet de pratiquer un sport avec le sexe opposé. »
« Elle sert à nous montrer que les garçons ne sont pas forcément meilleurs que les filles. »
Est-ce qu’elle (te) pose parfois des problèmes ?
oui : 3 non : 14
Merci de préciser ta réponse :
« Je suis timide avec les filles. »
« Je n’ai jamais été gênée par la présence des garçons : pour danser, par amitié ou juste pour leur parler. »
« Les garçons pensent que les filles ne sont pas capables de faire ce qu’ils font. »
« C’est bien qu’il y ait des garçons et des filles, l’ambiance ne serait pas la même. »
« Parce que je m’entends bien avec les garçons et les filles. »
« Ca ne me dérange pas d’être avec un garçon ou une fille quand on doit se mettre par deux. »
« Ca peut poser des problèmes : par exemple si on fait du foot, les garçons le pratique plus et nous sommes donc plus faibles. C’est injuste. La danse c’est l’inverse pour les garçons. »
L’atelier danse
Est-ce que tu avais déjà pratiqué la danse avant ?
oui : filles : 10 garçon : 0
non : filles : 2 garçons : 4
Si oui, quel style de danse :
comédie musicale (3), danse moderne (3) et de salon(1), modern’jazz (4), hip hop(1), classique(1), reggae dancehall(1), contemporaine (1), street jazz (1).
Est-ce que tu avais déjà pratiqué la danse de couple avant ?
oui : 4 non: 13
Si oui :
en cours : 1 en soirée : 2 autre : 1 à un mariage
Est-ce que l’atelier t’a plu :
oui : 15 (filles et garçons) non : 2 (garçons)
Pourquoi ?
« Parce que c’est en couple. »
« J’ai dansé avec un beau garçon et c’était cool ! »
« Je connaissais déjà alors je me suis ennuyée ».
« Ca m’a permis de connaître 2 autres styles de danses qui ne sont plus très dansées par notre génération. »
« On s’est amusé. »
« Ca change des séances de sport ! » (3)
« C’est drôle. » (3)
« Ca m’a fait découvrir un autre sport. »
« J’ai trouvé ça sympa. »(2) »
« Parce que l’on a pu découvrir la danse en couple ».
« Cet atelier nous a permis de découvrir cette activité que la majorité des élèves n’avaient jamais faite. »
Quelle danse as-tu préférée ?
le rock : 8 la salsa : 8 autre réponse : le madison (1) ; les 2 (1)
Est-ce que l’atelier t’a paru difficile ?
oui : 2 non : 15
Merci de préciser ta réponse :
« Parfois je perdais mes pas. »
« Tout était très bien expliqué. »
« Parfois ça allait trop vite pour moi. »
« Les pas étaient simples. »
« Je connaissais déjà les passes. »
Est-ce que tu as trouvé que cela t’a permis de mieux connaître tes camarades ?
oui : 8 non : 9
Merci de préciser ta réponse :
« Oui, certaines personnes. »
« Par rapport à d’habitude, on a pu être ensemble sans qu’il y ait de complexe envers un garçon ou une fille. »
« J’ai découvert un autre côté de leur personnalité. »
« Surtout les garçons car je ne leur ai jamais vraiment parlé. »
Si on organise un autre atelier danse, que pourrait-on améliorer ?
« On pourrait plus approfondir les pas. »
« La salsa parce que l’on a eu plus de mal pour les pas de danse. »
« Faire une danse complète et pas que des pas. »
« Compliquer ou changer un peu les pas. »
« Faire plus de salsa. »
« Avoir plus de temps pour la salsa car on a fait plus de rock. »
Merci pour votre participation à cette petite enquête bilan.
Article et synthèse de Christine Dubocage
Atelier BD d’Etienne Gendrin avec les 6eC au CDI
Etienne Gendrin est illustrateur et auteur de BD.
Il est venu animer un atelier BD auprès des 6eC le 27 mai 2015 toute la matinée dans le cadre de la semaine de la mixité au collège.
L’objectif était de réaliser une BD sur l’égalité, les relations garçon/fille et la mixité.
« J’ai étudié la Bande Dessinée à Bruxelles, suivi une formation pour adulte en Web Design, puis travaillé un court instant dans la presse agricole, comme maquettiste, obtenu une licence en Arts Plastiques et un Diplôme Universitaire en cinéma et Audiovisuel (DUCAV) à Strasbourg. »
« Depuis 2004, j’exerce la profession d’illustrateur-graphiste. Je fais notamment du dessin de presse et de la vulgarisation technique en images. Et quand j’ai un peu de temps à moi, je mène des projets de bande dessinée. »
Il a (co)écrit 5 livres pour l’instant.
Les voici :
Les élèves de 6C ont travaillé au CDI en cours de français avec M. Specklin pendant deux heures avant l’atelier.
Les équipes étaient des binômes mixtes (sauf une équipe de 3 garçons car il y a plus de garçons que de filles en 6C).
Pendant la 1ère heure, ils ont réfléchi aux personnages et à l’idée de départ pour un scénario.
Voici le travail préparatoire de chaque équipe :
Nous avons ensuite envoyé les premières pistes à Etienne Gendrin :
Recherches sur les personnages et débuts de scénarios 6C
A partir de cela, Etienne Gendrin a créé deux personnages pour notre BD : Marie-Clémence et Félix.
Lors d’une deuxième heure au CDI, les équipes ont rédigé leur scénario découpé en 6 parties : les 6 futures vignettes de la planche de l’équipe.
Scenario Lana et Malo Scenario Camille et Mathéo V Scenario Charlotte et Hugo Scenario Arthur et Julie Scenario Marc et Lauryne Scenario Arthur et Vanina Scenario Leila et Fabian Scenario Gabriela et Thibault Scenario 2e version Mattéo et Léa Scenario Dylan et Benoît
Lors de l’atelier, Etienne Gendrin a commencé par expliquer les différentes étapes de la réalisation de la BD.
Il a expliqué le sens de lecture des bulles et des vignettes dans la planche.
Il a également donné des exemples au tableau de tailles de vignettes variables en fonction de ce que l’on souhaite représenter.
Chaque équipe a ensuite dû définir la taille des 6 vignettes de sa planche.
C’était l’étape du découpage.
Dans chaque vignette il a fallu dessiner les silhouettes des personnages grossièrement et placer les bulles des dialogues.
M. Spatz a complété les indications en précisant qu’il fallait essayer de varier l’échelle des plans.
- Plan général
- Plan d’ensemble
- Plan moyen
- Plan américain
- Gros plan
- Très gros plan
Enfin toute la planche a été dessinée au crayon. C’est ce que l’on appelle le crayonné.
Pour finir le crayonné a été décalqué au feutre noir sur les fenêtre du CDI pour réaliser la planche définitive.
Dernière étape : certains groupes ont eu le temps de commencer à mettre des couleurs.
Vous pouvez lire les BD des 6C en ligne en cliquant ici.
Christine Dubocage
Le Samedi après-midi dans les familles
Les correspondants sont arrivés vers 15H. Ils étaient très attendus. Avec ma correspondante, Antonia, nous avons pris la voiture jusqu’à Spechbach-le-Bas. Arrivée chez moi, elle a installé ses affaires dans ma chambre, et nous sommes allés faire un tour dans le village, où nous avons pu faire ample connaissance. Malgré quelques problèmes pour se comprendre, elle a tout de suite été appréciée par toute la famille. Rentrés de notre balade, nous lui avons demandé ce qu’elle souhaitait faire le lendemain et le soir. Nous lui avons proposé d’aller dans un musée le lendemain. Et c’est alors que ma sœur a proposé de faire un bowling le soir. Elle a téléphoné au Cristal Bowling pour savoir si il y avait des pistes libres. Heureusement, il en restait! Nous sommes donc allés au bowling, ou nous avons passé une agréable soirée (et où j’ai perdu deux parties). Nous sommes ensuite rentrés et avons fait une pizza-party. Et voilà, début d’une courte semaine incroyable.
Sortie à la maison de la nature » Altenach »
Nous avons fait 6 groupes de 8 personnes, car il y avait 6 petites activités à faire, la première activité avec un animateur était de faire du feu sans allumette et sans briquet avec juste un bout de fer, du coton, du bois, de la paille…
Ensuite avec Mme Wafflart la deuxième activité était des jeux, le premier jeu était: que nous devions passer sur de l’eau grâce à des feuilles A4 sur le sol comme si cela était des gros rochers, nous étions 8, parfois 10 à passer juste avec 6 feuilles A4 et pour les groupes qui avaient le temps, ils ont fait un autre jeu, :Les icebergs où il y avait 4 bateaux avec les yeux bandés et 4 icebergs, les bateaux devaient aller jusqu’au bout de la cour sans foncer dans un iceberg pour cela les bateaux disaient bip et les icebergs répondaient bip comme cela, grâce à l’ouïe les bateaux savaient leur direction. La 3 ème activité était de préparer une tarte aux orties chaque groupe avaient déjà un peu avancé sur la recette pour que tous les groupes puissent préparer la tarte, cette activité était avec la professeur des Allemands Mme Gebelein .
La 4 ème activité était avec Mme Frenzel, cette activité consistait à comparer des aliments français et allemand, comme le Nutella, les bonbons Haribo, le pain, et pour finir de faire du Nutella et pour les groupes qui étaient en avance, de faire des bonbons Haribo.
Pour l’activité 5 nous étions avec la deuxième professeur allemande, Mme Stoyan puis nous avons cherché des fleurs dans un mini jardin pour ensuite faire notre propre tisane chaque groupe avait une autre tisane avec à chaque fois des autres plantes, et pas le même dosage de plante.
La dernière activité était avec une animatrice, et les groupes avaient des biscuits avec de la banane,vu que nous étions les derniers des groupes à passer nous avons préparé les tables et préparé ce que nous avons fait pour le déguster .
A la fin nous nous sommes tous assis à des tables dehors, puis nous avons goûté notre tisane, notre Nutella, notre tarte à l’ortie, puis nous avons dit un grand au revoir aux animateurs et nous sommes partis direction le collège pour rentrer dans les familles. 🙂
Anaïs Mona
4b
l’arrivée des correspondants à Illfurth
Les correspondants sont arrivés sur le parking des professeurs vers quinze heures (pour des raisons techniques parfaitement compréhensibles, il m’est impossible d’être plus précis) au lieu de 14H30 comme il était annoncé. Heureusement, nous avons été prévenus par un coup de téléphone des Allemands depuis Fribourg à 2 heures et des clopinettes. Le bus de la WILD (La compagnie de transport ) est arrivé sur le parking des professeurs, qui a rarement été aussi chargé. Les correspondants sont descendus, ont déposé leurs valises dans les coffres des voitures, puis nous avons quitté le parking ensoleillé pour rentrer dans les bâtiments du collège.
Notre principal Mr Backenstrass a fait un discours dans notre hall. Une fois ce dernier fini, nous sommes passés à la partie suivante de ce samedi après-midi c’est-à-dire le pot d’accueil toujours dans le hall. Après ça , les professeurs nous ont donné quelques informations concernant la journée du lundi suivant. Ensuite, nous sommes rentrés dans nos maisons respectives avec nos correspondants. Tout s’est passé pour le mieux.
Le mercredi après-midi dans les familles
Après la fin des cours, nous sommes rentrés chez moi pour manger. Après nous sommes allés retrouver Hugo et Ludovic et leurs correspondants. Nous sommes ensuite allés à Luemschwiller à vélo, il nous a fallu une vingtaine de minutes. Il y avait Florestan et son correspondant, nous avons ensuite joué au foot. Quentin et son correspondant nous ont rejoints un peu plus tard. Nous avons bien joué et rigolé. Vers 17 heures nous avons dû rentrer parce que j’avais un entrainement. A 18 heures nous sommes partis. C’était la première fois que Johan voyait du judo. Il a bien aimé. Puis, l’entraînement fini nous sommes rentrés. Avec Johan nous avons un petit peu discuté, nous nous entendions et nous comprenions très bien. Après le repas nous avons fait quelques jeux de société puis nous nous sommes couchés.