Atelier BD d’Etienne Gendrin avec les 6eC au CDI

Etienne Gendrin est illustrateur et auteur de BD.

Il est venu animer un atelier BD auprès des 6eC le 27 mai 2015 toute la matinée dans le cadre de la semaine de la mixité au collège.

L’objectif était de réaliser une BD sur l’égalité, les relations garçon/fille et la mixité.

Etienne GendrinMais qui est-il ?

« J’ai étudié la Bande Dessinée à Bruxelles, suivi une formation pour adulte en Web Design, puis travaillé un court instant dans la presse agricole, comme maquettiste, obtenu une licence en Arts Plastiques et un Diplôme Universitaire en cinéma et Audiovisuel (DUCAV) à Strasbourg. »

« Depuis 2004, j’exerce la profession d’illustrateur-graphiste. Je fais notamment du dessin de presse et de la vulgarisation technique en images. Et quand j’ai un peu de temps à moi, je mène des projets de bande dessinée. »

Il a (co)écrit 5 livres pour l’instant.

Les voici :

Comment nourrir un régimentJeux pour habiter autrement la planèteDroit d'asileAgis ta terreMon imagier alsacien

 

 

 

 

 

 

 

 

Les élèves de 6C ont travaillé au CDI en cours de français avec M. Specklin pendant deux heures avant l’atelier.

Les équipes étaient des binômes mixtes (sauf une équipe de 3 garçons car il y a plus de garçons que de filles en 6C).

 

Pendant la 1ère heure, ils ont réfléchi aux personnages et à l’idée de départ pour un scénario.

Voici le travail préparatoire de chaque équipe :

Préparation de l’atelier BD

 

Nous avons ensuite envoyé les premières pistes à Etienne Gendrin :

Recherches sur les personnages et débuts de scénarios 6C

Projets de scénarios de BD 6C

A partir de cela, Etienne Gendrin a créé deux personnages pour notre BD : Marie-Clémence et Félix.

Marie Clémence et Félix

 

 

 

 

 

 

 

Lors d’une deuxième heure au CDI, les équipes ont rédigé leur scénario découpé en 6 parties : les 6 futures vignettes de la planche de l’équipe.

Scenario Lana et Malo Scenario Camille et Mathéo V Scenario Charlotte et Hugo Scenario Arthur et Julie Scenario Marc et Lauryne Scenario Arthur et Vanina Scenario Leila et Fabian Scenario Gabriela et Thibault Scenario 2e version Mattéo et Léa Scenario Dylan et Benoît

 

Lors de l’atelier, Etienne Gendrin a commencé par expliquer les différentes étapes de la réalisation de la BD.

Il a expliqué le sens de lecture des bulles et des vignettes dans la planche.

Il a également donné des exemples au tableau de tailles de vignettes variables en fonction de ce que l’on souhaite représenter.

Chaque équipe a ensuite dû définir la taille des 6 vignettes de sa planche.

Etape 1 découpage

 

 

 

 

 

 

C’était l’étape du découpage.

Dans chaque vignette il a fallu dessiner les silhouettes des personnages grossièrement et placer les bulles des dialogues.

crayonné personnage

 

 

 

 

 

M. Spatz a complété les indications en précisant qu’il fallait essayer de varier l’échelle des plans.

Etape 1 découpage suite

 

Echelle des plans

 

 

 

 

  • Plan général
  • Plan d’ensemble
  • Plan moyen
  • Plan américain
  • Gros plan
  • Très gros plan

Enfin toute la planche a été dessinée au crayon. C’est ce que l’on appelle le crayonné.

Crayonné suite

 

 

 

 

 

Exemple de crayonné

 

 

 

 

 

 

 

Etape 1 découpage suite2

 

 

 

 

Exemple crayonné 2

 

 

 

 

 

Pour finir le crayonné a été décalqué au feutre noir sur les fenêtre du CDI pour réaliser la planche définitive.

Calque

 

 

 

 

 

 

 

Calque2

 

 

 

 

 

 

 

Calque3

 

 

 

 

Calque4

 

 

 

 

 

 

 

 

Dernière étape : certains groupes ont eu le temps de commencer à mettre des couleurs.

Couleurs

 

 

 

 

 

 

 

Couleurs

 

 

 

 

 

Couleurs 2

 

 

 

 

 

Couleurs 3

 

 

 

 

 

Couleurs

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous pouvez lire les BD des 6C en ligne en cliquant ici.

 

Christine Dubocage

 

Accueil de l’auteure Chantal Robillard au CDI le 06/02/2015

Rencontre avec C Robillard

Les 6eA ont rencontré Chantal Robillard vendredi 06 février 2015 au CDI avec leur professeure de français Mme  Muller-Duport.

Voici le récit de cette rencontre par Christine Dubocage, professeure documentaliste.

Un lapin et 25 ter-ines
Aujourd’hui a été un jour tout à fait particulier au CDI du collège de l’Ill.
Les 6eA ont rencontré un écrivain en chair et en os après avoir préparé depuis deux mois cette rencontre avec leur professeure de français Mme Muller-Duport.
Enfin il s’en est fallu de peu qu’il ne reste plus que les os et plus beaucoup de peau à Mme Chantal Robillard, auteure frigorifiée à la gare d’Illfurth aux alentours de 9h30, ce vendredi 6 février 2015, se demandant bien ce qu’elle était venue faire dans cette galère à l’autre bout de l’Alsace après trois correspondances de trains !
Moi de mon côté je m’inquiétais 10 mn plus tôt dans le hall d’arrivée de la gare de Mulhouse de ne voir aucun train affiché en provenance de la gare de Strasbourg… Coup de fil au collège…
Heureusement Mme Muller-Duport a su sauter dans son carrosse bleu maya et non safre (mot que Théo Pedrosa nous a tous fait découvrir en cherchant des nuances de bleu dans un dictionnaire des synonymes une heure plus tard…) pour aller sauver notre écrivaine des vents mauvais de février sur le quai sans abri d’Illfurth !
Mme Robillard a malgré tout réussi à garder toute sa bonne humeur (on comprend pourquoi elle a été sacrée chevalier*, et même officier* ) … alors que je lui avais posé un lapin !
Un comble quand on sait que son roman le Zoo des chimères raconte l’histoire d’un parc animalier improbable où se côtoient des licornes, le monstre du Loch Ness, le chat botté et des nains de jardins.
Personnellement je me sentais assez petite en franchissant la porte du CDI en m’excusant platement pour le malentendu. Je me serais bien vu souris de CDI ou même rat de bibliothèque !
Ensuite ce fut un moment magique…

Mme Robillard a su captiver son auditoire pendant plus de 2 heures.
Nous avons embarqué dans son vaisseau spatial direction mars.

Sur la planète rouge nous avons salué au passage Alice au pays des merveilles dite Caroll, Le Petit Prince (certains l’avaient bien reconnu ce « gamin avec son pyjama blanc son écharpe jaune et ses cheveux blonds »).
Il y avait aussi le robot de Star wars, le chat botté si imposant, le beau Corto Maltese.
Tant de héros qui nous sont si chers !

Chacun a les siens, mais on peut les partager et leur faire vivre de nouvelles aventures.

Inventer des nouvelles fins ou des nouveaux débuts ! C’était une belle leçon de liberté.
Et puis elle nous a délivré un message comme ça, l’air de rien.
Mais au fait pourquoi la littérature est essentielle ? Qu’est ce qui est beau dans un livre ? Qu’est ce qui nous touche si profondément ? Enfin pourquoi faut-il garder du temps pour lire ?
Elle qui a été à l’origine de la création de nombreuses bibliothèques, elle qui est l’alliée des libraires (comme Bisey qu’elle a aidé à s’agrandir** ), … elle a su le dire simplement.
La magie existe parce que le lecteur est aussi le créateur du livre.
Dans les personnages nous projetons ce que nous voulons. Chacun fait ce qu’il veut du personnage.

La liberté est du côté de l’auteur mais aussi du côté du lecteur.
C’est pour cela que nous sommes déçus parfois en voyant l’adaptation de certains romans au cinéma ou à la télévision.
Maigret par exemple n’a jamais été décrit par Simenon.Chacun a son Maigret !
Et puis elle nous a parlé du pouvoir de l’imagination.
Elle nous a communiqué son amour des contes en nous lisant certains de ses textes de la Fontaine aux fées. Qui a dit que les fées c’était pour les enfants ?
Elle nous a surtout parlé de sa passion pour les mots.
Elle nous a dit qu’elle avait toute une ménagerie de dictionnaires chez elle. De tous les genres.
Un gros par exemple qui ne contient que les nuances de bleu.
Et puis ca a été le moment de se retrousser les manches et d’enfiler son tablier.
Tout le monde à la cuisine. Et hop !
D’abord on a choisi les ingrédients : des noms d’animaux en une syllabe.
On s’est mis d’accord sur la recette : la ter-ine, recette particulièrement appréciée par Mme Muller-Duport.
Chaque équipe a ensuite essayé d’accommoder ses ingrédients pour en faire un plat original à déguster tous ensemble. Il y a eu 25 ter-ines en préparation et nous étions 3 goûteurs … Trop salé, pas assez épicé, tu as mis trop de ceci, il manque à mon avis de cela…
Ca touillait, ça goûtait, ça cherchait des astuces dans les dictionnaires et les Bescherelles, ça coupait, ça pesait les syllabes … ça discutait… ça rigolait aussi (trouver une histoire avec le mot porc, ça donne forcément des histoires drôles)!
Au bout du compte certains plats ont été finis à temps et on a pu les goûter. Jérémy nous a lu sa ter-ine. Un vrai délice. Léa aussi a accepté de partager sa recette. Une gourmandise !
Tout le monda a applaudi.
D’autres plats ont encore besoin d’être assaisonnés avant d’être servis…
On vous les servira tout chauds… dans le prochain journal !
En attendant vous pouvez venir picorer au CDI des textes dans les livres de Chantal Robillard pour apaiser votre faim.
Ses textes sont comme des biscuits apéritifs : il y en a pour tous les goûts.
Alors bon appétit !

Christine Dubocage

*Mme Robillard est chevalier et officier des arts et des lettres
**Elle est conservateur en chef honoraire des bibliothèques et a travaillé à la DRAC durant 20 ans comme conseillère pour le livre et la lecture à la Direction régionale des Affaires culturelles (DRAC)

 

Pour en savoir plus sur elle, cliquez sur sa photo

Robillard

 

 

 

 

 

 

 

 

Les avis des élèves de 6eA

 

« J’aimerais  dire à Chantal Robillard que j’ai beaucoup aimé la rencontrer. Elle est très gentille et j’aime beaucoup ses livres. »

Elena

plume

 

 

 

« J’ai aimé que Chantal Robillard réponde à nos questions. Qu’elle reste longtemps avec nous. Ses livres sont  originaux. Je n’ai pas tellement aimé l’atelier d’écriture. »

 

Antony

plume

 

« Pendant cette rencontre j’ai appris que Chantal Robillard aime beaucoup les livres merveilleux et la ville de Venise. J’ai aimé sa gentillesse. C’était sympathique mais un peu long à la fin.

Ses livres sont stylés : elle donne des indices pour découvrir des personnages. L’atelier d’écriture était bien aussi. »

Théo

 

« J’ai appris comment faire des poèmes. J’ai aimé quand elle a répondu à nos questions et quand elle a lu à voix haute un extrait de son livre.

Je voudrais lui dire merci : son livre est super. L’atelier d’écriture était bien, malgré quelques difficultés. »

Michel

plume

 

 

« J’ai appris lors de la rencontre qu’elle met 4 à 5 ans pour écrire un livre !

J’ai aimé quand on a fait des ter-ines. J’aurais aimé qu’elle nous montre sa médaille.

Je la remercie d’être venue. Ses livres sont bien.  »

Johann

plume

 

« Les lives de Chantal Robillard sont bien . Je les trouve créatifs, parfois un peu bizarres et marrants. »

 

 

 

Sarah

 

plume

 

« J’ai bien aimé ce moment avec Chantal Robillard car on a pu apprendre à faire des ter-ines. J’aurais aimé qu’elle apporte Hôpital Cendrillon, mais j’aime beaucoup ses autres livres comme le Zoo des chimères. Ils sont intéressants. »

 

Julie

 

plume

 

 

« J’ai aimé quand elle nous a expliqué comment elle a écrit ses livres. J’aurais aimé plus de temps pour l’atelier et moins de questions. Je trouve que ses livres sont marrants. L’atelier d écriture était bien comme on était en groupes.  »

 

Elya

plume

 

« J’ai appris qu’elle va sortir une suite. J’ai aimé quand on a fait un atelier d’écriture car on a inventé des ter-ines. J’aurais aimé qu’elle nous montre sa médaille d’officier.

Elle a beaucoup d’idées pour écrire ses livres. C’était bien. »

 

 

Tom

 

plume

« J’ai tout aimé lors de cette rencontre. C’est super de rencontrer un écrivain.

J’ai envie de lui dire que j’ai adoré la rencontrer car c’était mon rêve de renconter un écrivain et de travailler avec lui. »

 

 

Manon

Les textes écrits en cours de  français en souvenir de la rencontre

Je me souviens…

 

Voici la réponse de Mme Robillard à ces différents textes rédigés par les élèves

 

« Oh, super les « je me souviens » ! bravo à tous !

Et bonne nouvelle : mon éditeur canadien va republier enfin « Hôpital Cendrillon », des exemplaires devraient être disponibles pour le Salon du livre de Paris, puis la Foire aux livres de St Louis…

c’est un peu grâce à vos élèves et ceux de Guebwiller qui ont exprimé le regret de ne pas pouvoir le lire.

Voici la couverture de  première édition, qui ne devrait pas changer ; elle est signée Arthur Rackham, qui a inspiré Hergé pour le personnage de Rackham le rouge ! »

Hop Cendrillon

Lecture 2

 

 

« Je suis très touchée et émue par ces réactions spontanées… !

Vous pouvez leur montrer la fameuse médaille, puisqu’ils y tiennent tant  ! »

 

MMe Robillard avec sa médaille

 

 

 

 

 

 

 

Elle vous fait parvenir également la photo de la médaille des officiers des arts et des lettres comme certains étaient curieux de savoir à quoi elle ressemble !

Officier des Arts et des Lettres

 

 

 

 

 

 

 

Enfin, elle a mis dans son blog pour vous un compte rendu du jour où elle a été sacrée « Officier des Arts et des Lettres »

Cliquez sur le carton d’invitation de Claude Lapointe, célèbre illustrateur alsacien, pour découvrir tous les détails de cette cérémonie.

Carton d'invit Claude Lapointe

 

 

 

 

 

Les photos de la rencontre

6A et C RobillardLa lecture

Lecture C Robillard

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Lecture aux 6A

L’atelier d’écriture

Atelier d'écriture 2Atelier d'écriture1Atelier d'écriture 4

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Chantal Robillard a mis dans son blog le compte rendu de cette rencontre inoubliable.

Vous pouvez le découvrir en cliquant ici

 

Blog C Robillard

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous pouvez consulter ici l’article du journal l’Alsace du 11 février réalisé par Danièle Martin qui est restée plus d’une heure avec nous !

Un grand merci à elle aussi pour son enthousiasme et son article !

 

Pour lire l’article en entier, vous pouvez cliquer sur le titre ci dessous :

Les collégiens à la découverte de l’Oulipo L’Alsace 11 février 2015

Article dans l'Alsace

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Merci à Chantal Robillard pour ce moment partagé !

Chantal Robillard

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les ter-ines des 6A

Terine de Jérémy

Terine Tom

 

Terine Julie Chloé Elya Léa

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Terine Thibaud

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

loup

 

 

 

 

 

Les ours, le chat et le loup

Un oiseau rare regarde un chat
Qui court vers de très gros ours,
Qui discutait avec un loup.

Mais quand le chat vit le grand loup,
Et que le loup vit le petit chat,
Il dit au chat regarde un ours.

Le chat n’aimant pas les gros ours.
Il attaque le grand méchant loup.
Mais le loup tue ce petit chat.

Matteo PANFALONE

Geai

 

 

 

 

 

 

Il était une fois un gros chat
Qui avait attrapé un geai
Non loin de la tanière d’un ours.

Les cris du pauvre petit geai
Réveillèrent dare dare l’énorme ours
Qui fonça tout droit sur le chat.

Ce dernier effrayé par l’ours
S’enfuit et plus jamais le chat
N’embêta la famille des geais.
Johann KEMPF

Chien_errant

 

 

 

 

 

 

Il était une fois un gros chien
Qui habitait avec un rat
Le gros rat attaqua un chat

Le rat combattit le gros chat
Le rat appela le gros chien
C’est un grand combat pour le rat

Le petit chat mangea le rat
Le gros chien combattit le chat
Le grand gagnant fut le gros chien

Antony Galmiche

 

Les contes itinérants suite : le livre mystérieux

Voici les textes des 6C de Mme Muller-Duport

Ma bibliothèque de M Linden

écrits à partir d’une illustration de l’album Les mystères de Harris Burdick 

 

intitulée Ma bibliothèque de M Linden.

 

livre_ouvert_01

 

 

 

Voici la suite écrite par les CM de Luemschwiller de Mme Boetsch

 

ainsi que leurs dessins

crayon-0010

 

Ma bibliothèque de M Linden

 

 

…Puis la suite des CM de Heidwiller de Mme Etschmann

ainsi que quelques uns de leurs dessins

 

 

hellow_sorciere004

 

 

 

 

 

…et la fin des CM de Tagolsheim-Walheim de Mme Lavault…

ainsi que quelques uns de leurs dessins !

 

 

 

 

 

 

Les contes itinérants

Les élèves de 6eA, 6eB et 6eC ont écrit des débuts de contes en décembre à partir d’images et de mots choisis par des élèves de CM2 des environs.

Vous allez découvrir ici leurs textes.

Voici les débuts de contes des 6eA de M. Specklin

Berceau image Dixit

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(Illustration issue du jeu de société Dixit).

 

Il était une fois un bébé qui naquit dans un village de sorciers

de Matéa GABUS, Julie ANDRZECSYK, Mathis BISCH, Alice HAMON et Noah TOY

 

Il était une fois dans un village un paysan qui n’avait ni enfants ni femme

de Simon HEINERICH, Elya EHNI, Léa TOUSSAINT, Hugo WACH et Thibaut HESS

 

Il était une fois un jeune homme prénommé Eric

de Manon SCHATZ, Léa MAILLOT, Tom ULM, Aymeric PIERRACINI et Cedric ULRICH

 

Il était une fois une vieille sorcière nommée Agatha

de Lara DUMORTIER, Ilona GILLET, Jolan MONTAGNON, Théo LEFORT-PFLIEGER et Thalia GIBERTINI

 

Dessin texte 2 6A

Dessin de Thalia GIBERTINI 6A

 

Le trésor du berceau

de Inès AMARA, Emile PAXION, Lilian WADEL, Vanina HALLER et Aymeric OUDIN

 

Il était une fois une jeune veuve avec son bébé

de Leslie MITEL, Théo HATTERMANN, Anna-Myriam ALBANESE et Axel DAUM

Dessin texte 4 6A

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dessin d’Anna ALBANESE 6A

 

 

 

 

Voici le texte choisi et la suite des élèves de CM2 de WALHEIM de Mme Véronique FONCK

Suite des CM2 de WALHEIM

Voici le texte écrit par le CM2 de Spechbach-le-Bas de M. Pascal RENOIR

Fin des CM2 de Spechbach le Bas

Voici les dessins faits par les CM2 de Spechbach-le-Bas

 

 

 

Voici les débuts de contes des 6eB

 

Un Noël mouvementé

La Harpe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il était une fois une forêt maudite...

de Capucine DEMEUNYNCK, Bastien HECKLEN, Elise GOEPFERT, Pierre BADER et Lionel WIPF

 

Il était une fois, en 1950, le Pere Noel qui avait l’habitude de jouer de la harpe quand il était énervé...

de Théo RIBEIRO, Rosalie GEHIN, Kentin GAUGLER et Nicolas FRANCK

 

La forêt maudite

de Apolline FAESCH, Paul FELDMANN, Julien  MILOVAC et Nathan KLINGER

 

Le Père Noël ayant fini tous les préparatifs et les cadeaux

d’Elisa DROSZEWSKI, Lena PUZZUOLI, Louis SCHLICKLIN , Nelson FRANCISCO et Angele SMETRYNS

 

Au cour de la nuit de Noël de 1950,au fin fond du Pôle Nord, le Père Noël et ses lutins discutaient...

de Lise HARTMANN,  Vincent WOLF , Bryan THURMANN, Lise HOLSTEIN et Eve SATRE

 

Un jour, il y a fort longtemps, le Père Noël faisait sa tournée.

Audrey MAZURIER , Chloé  HAEFFELE-PFAFF, Maxence HORWAT, Thomas HARTMANN et Jules MAILLET

 

Voici la première péripétie des CM2 de Froeningen de Charlotte GUILARD

 

Voici la suite des CM2 d’HOCHSTATT de M. Pierre WOEHL

 

 

Voici la suite des CM2 d’Illfurth de Mme Anne Schicklin

conte musical

 et leur illustration.

 

Bonne lecture !

 

 

La femme à fleurs

La femme à fleurs

 

Ô ma bien aimée, venez au creux de mes bras

Admirez cette mer de fleurs, comme j’admire vos yeux

Qui brillent dans la nuit, et disparaissent dans les cieux

Car il n’y a que moi qui vous réchaufferai.

 

Profitez de ce soleil radieux de printemps

Avant que les nuages viennent noircir votre vie

Accourez chez moi vers le chevet de mon lit

Pour que nous nous amusions comme des enfants

 

Venez à moi avant que votre beauté ne fane

Après plusieurs femmes, je t’ai trouvée, ma Jeanne

Alors ne pensez pas que je nous aime point

 

Dépêchez-vous de profiter de votre jeunesse

Avant que cette solitude ne vous blesse

Avancez dans cette voie qui vous guidera loin.

 

 ANDRZECZYK Thomas

ROTH-SCHMIDT Guillaume

Souvenirs de Vendée (5èmes D)

Au retour du voyage en Vendée, les élèves de 5ème A et D ont eu à rédiger un récit de chevalerie ayant

pour cadre les lieux qu’ils ont visité (le château de Talmont Saint Hilaire) et les personnes, réelles ou

fictives, qu’ils ont rencontrées (les animateurs, le terrible chevalier Guillaume le Chauve ou encore la

duchesse Aliénor d’Aquitaine). Voici quelques uns des récits les plus inspirés des 5èmes D.

 

 

« Aujourd’hui, je vais vous raconter l’histoire de la princesse Aliénor, prisonnière du terrible Guillaume le Chauve. Son ami le chevalier Cédric, accompagné de son fidèle destrier Antoine, livre bataille pour la délivrer.

Cédric, toujours sur le dos d’Antoine (oui, Antoine est un cheval), observe Guillaume le Chauve, qui est également sur son étalon. Pour Cédric, ce dernier est un personnage extrêmement laid: des yeux d’un noir si profond qu’un seul regard nous donne l’impression d’être en enfer, un nez en forêt de verrues, quant à son apparence physique c’est une personne assez grasse et petite. Par contre, ¨pour Guillaume le Chauve, Cédric le Preux est musclé, et c’est bien cela qui lui fait peur: son courage, car il a parcouru ciel et terre pour sa mie, sa volonté, et de plus l’amour renforce ces qualités.

Guillaume le Chauve, terrorisé, essaye d’intimider Cédric le bon chevalier:

« Même avec ta volonté d’acier tu n’arriveras pas à me battre!

-C’est ce qu’on verra! répond alors Cédric.

-Tu penses… »

Mais même avant de finir sa phrase, Cédric et Antoine sont déjà sur lui. Guillaume le Chauve essaye, alors, de se défendre avec son épée mais Cédric, agile en plus de toutes ses qualités, agit avant lui et s’empare de son épée. Heureusement, sa courtoisie prend le dessus en entendant sa bien-aimée, cachée derrière les buissons, le prier:

« Je t’en supplie, même le plus ignoble des monstres a le droit à la vie! »

Quand Cédric  a fini de ligoter le seigneur, il se met à courir vers sa bien-aimée et la prend dans ses bras? Une heure plus tard Cédric décide de quitter les lieux avec sa bien-aimée mais pour cela il doit retrouver son fidèle destrier qui, quant à lui, se trouve avec la jument du seigneur: Sarah.

Il faut avouer que même les animaux ont besoin d’amour…  »

OZALP Zeynep, 5ème D

« Voici l’histoire du chevalier Cédric qui va délivrer la belle princesse Aliénor prisonnière du terrible Guillaume le Chauve dans le château de Talmont Saint Hilaire.

Le chevalier s’élança sur sa monture à pleine vitesse vers le château du maléfique Guillaume le Chauve afin de délivrer Aliénor qu’il admirait depuis si longtemps tant elle était magnifique. Il arriva aux abords de la forteresse et s’arrêta. Il attacha son cheval haletant et épuisé par sa course puis prit son arbalète et son épée. Il s’avança tel une ombre et aperçut quelques gardes. Il tira trois carreaux et les gardes tombèrent. Grâce à sa force il parvint seul à passer la porte et déjoua tous les pièges de l’entrée. Il déboula dans la haute cour. Alerté par le vacarme, Guillaume accourut et trouva Cédric dans son château. Le chevalier parla alors avec une étonnante assurance:

« Je viens délivrer la princesse que tu retiens! hurla-t-il.

-Tu ne la délivreras pas et tu ne sortiras jamais d’ici! » lui répondit-il sur le même ton pour tenter d’effrayer le héros.

Sans paraître apeuré, Cédric le provoqua:

« Si tu étais aussi fort que laid alors je devrais te craindre! »

Le seigneur du château avait d’immenses yeux sombres, un nez tordu à cause d’une ancienne fracture et une bouche où il manquait la moitié des dents et celles qui lui restaient étaient jaunes ou noires. Il était recouvert de verrues et son odeur aurait fait fuir n’importe qui. Il mesurait deux mètres et n’était plus qu’un tas de muscles. De plus, à sa ceinture, se balançait une énorme épée. Le combat débuta, les adversaires luttèrent vaillamment. Cédric asséna un rude coup dans le ventre du colosse ce qui fissura son armure. Profitant de l’occasion, le seigneur ouvrit une plaie dans la cuisse de Cédric. Guillaume, qui attendait un cri de douleur reçut en échange un coup au même endroit que précédemment. L’armure se cassa et l’épée transperça le ventre du géant qui s’écroula, mort. Cédric, sans se préoccuper de sa blessure, partit à la recherche d’Aliénor et la trouva dans une chambre, couchée sur son lit et pleurant. Cédric l’emmena et ils sortirent rapidement du château. Ils montèrent sur le cheval et s’enfuirent. Arrivés dans une auberge, Aliénor soigna Cédric et celui-ci lui raconta ses exploits. Un peu plus tard, ils rentrèrent au château du père d’Aliénor.

Cédric et Aliénor se marièrent et longtemps on conta l’histoire de Cédric qui a battu Guillaume le Chauve pour délivrer la belle Aliénor. « 

HOESCH Amélie, 5ème D

 « Je vais vous conter l’histoire de la belle Aliénor et du preux Cédric, prêt à tout pour sa promise.

Il était une fois un terrible seigneur, Guillaume le Chauve, rusé et sans pitié. Ses petits yeux perçants de couleur noire paraîssaient enfoncés derrière son nez aquilin. Le seigneur que tout le monde craignait aimait une certaine Aliénor, d’une beauté fascinante, dotée d’un immense courage mais qui s’était éprise de l’irréprochable Cédric, qui, lui aussi, l’aimait follement. Ignoble-le-Chauve, car c’est comme ça qu’on appelait le seigneur en son absence, avait pris en otage la princesse lorsque celle-ci refusa ses avances. Cela faisait quelques mois, durant lesquels le chevalier Cédric avait mis en oeuvre une stratégie: le soir de Noël, lorsque tous les habitants du château de Talmont Saint Hilaire seraient ivres, il  entrerait discrètement, se rendrait dans la plus haute pièce du donjon et délivrerait sa bien-aimée. Il le savait, ce stratagème n’était pas très élaboré mais il n’avait pu en trouver un meilleur tant la disparition d’Aliénor lui transperçait le coeur. Le soir de Noël, le preux chevaucha sa monture et partit en direction de la forteresse. Comme prévu, le château était en fête, il y avait beaucoup de bruit et les lueurs d’une multitude de chandelles brillaient derrière les carreaux des grandes fenêtres d’apparat. Mais il y avait un détail que Cédric ne vit pas: le seigneur lui-même prenait l’air sur un balcon qui donnait sur la haute cour dans laquelle il venait de pénétrer. Le seigneur l’interpella:

« Qui es-tu, inconnu?

-Je me prénomme Cédric et je suis un chevalier.

-Je m’en doutais, un bâtard de plus! décréta Guillaume le Chauve. Que viens-tu faire ici?

-Je viens récupérer ce qui ne vous appartient pas! répondit le sauveur.

-Je ne vois pas de quoi tu parles. Serais-tu en train de… »

Sur ce, Cédric brandit son épée, sauta sur le porche avec une force surhumaine, puis il escalada le mur et atterrit sur le balcon. Le seigneur ne put réagir tant il était stupéfait. Le chevalier le frappa avec son épée tranchante à l’épaule. Guillaume quant à lui, n’était pas armé. Il n’avait d’autre défense que ses poings, dont il sut très bien se servir en assenant un coup sur le nez de son adversaire. Le preux plaqua sa main contre sa blessure et découvrit un filet de sang tiède qui eut pour effet de provoquer sa colère. Il planta son épée dans le coeur du seigneur qui mourut aussitôt.

Tout cela s’était passé sans que personne ne s’en aperçoive et Cédric courut vers le donjon où il retrouva sa chère Aliénor qui l’attendait depuis si longtemps. « 

HUGUEL  Caroline, 5ème D

Sources des images:   http://gribouille24.over-blog.com/article-36504237.html

http://lesartisanesdelacoline.over-blog.com/article-visite-vendee-les-sables-d-olonne-87353670.html

http://www.schirinpartowi.de/projets.htm

Souvenirs de Vendée (5ème A)

Au retour du voyage en Vendée, les élèves de 5ème A et D ont eu à rédiger un récit de chevalerie ayant

pour cadre les lieux qu’ils ont visité (le château de Talmont Saint Hilaire) et les personnes, réelles ou

fictives, qu’ils ont rencontrées (les animateurs, le terrible chevalier Guillaume le Chauve ou encore la

duchesse Aliénor d’Aquitaine). Voici quelques uns des récits les plus inspirés des 5èmes A.

 

« Galopant vers le château, Cédric, le preux et beau chevalier, partit délivrerla princesse Amélie.

Devant le château de Guillaume le Chauve, Cédric dégaina son épée et entra àl’intérieur. L’énorme pont-levis du château était ouvert car le maléfique. Guillaume le Chauve l’attendait de pied ferme.

Guillaume le Chauve était beaucoup plus grand que Cédric et certains disaient que c’était le plus gros seigneur de tout le Royaume. Il avait une épée tellement grande qu’aucun fourreau n’était assez long pour elle. Guillaume le Chauve regardait Cédric avec son horrible regard: il avait des petits yeux très sombres et une grande barbe qui lui couvrait la bouche. Cédric annonça alors:

« Guillaume le Chauve, libère la princesse Amélie!

-Jamais, cria-t-il, la princesse Amélie deviendra ma femme,pars, si tu ne veux pas mourir!

-Je ne partirai pas sans la princesse Amélie, déclara Cédric, je donnerai ma vie pour elle.

-Alors tu mourras! » cracha le cruel Guillaume le Chauve.

Les deux chevaliers s’élancèrent alors dans un combat si redoutable, que l’on entendait leurs épées s’entrechoquer dans toute la ville. Mais le vicieux Guillaume le Chauve donna un violent coup d’épée dans le bras de Cédric. En utilisant ses dernières forces et son courage, Cédric, d’un grand coup d’épée, trancha l’armure de son ennemi et le tua d’un coup. Puis, en compressant son bras pour arrêter l’hémorragie, le beau et puissant chevalier monta lentement les longs escaliers du donjon. Le château était maintenant désert car tous les hommes de Guillaume le Chauve avaient lâchement fui. Quand Amélie vit son sauveur arriver, elle se jeta dans ses grands bras musclés.

Quelques mois plus tard, Cédric et Amélie se marièrent et eurent une fille aussi belle qu’Amélie et aussi courageuse que Cédric. »

Carole MISSLIN, 5ème A

 

 » Guillaume le Chauve avait emprisonné la princesse Aliénor, mais le courageux chevalier Cédric arrivait à son secours.

« Guillaume le Chauve, laissez-moi sortir, s’il vous plaît, je ne vous en voudrais point! supplia la belle Aliénor.

-Ne discutez pas ma chère Dame, répondit Guillaume le Chauve, je vous garderai prisonnière autant de temps qu’il le faudra, même… »

Le seigneur se fit interpeller par la trompette qui indiquait que l’ennemi était en vue, celui-ci courut à la fenêtre; en effet il vit des chevaux: sur l’un d’eux se trouvait Cédric, le preux et beau chevalier d’Aliénor.

Guillaume le Chauve, aussi furieux que chauve, descendit comme un éclair dans la haute cour, laissant la princesse croupir tout en haut du donjon. Arrivant en bas, le geôlier d’Aliénor fit seller son cheval, sauta dans sa cotte de mailles et partit protéger son honneur.

Cédric, quant à lui, avançait droit dans la gueule du loup, avec une seule idée en tête: sauver sa Dame. Ce dernier vit l’horrible monstre qu’était Guillaume le Chauve, au début le chevalier courtois fut intimidé. Le maître du château était grand, fort, musclé, il avait une grande barbe, des yeux bruns et il n’avait plus de dents. Il comprit enfin pourquoi on l’appelait « le Chauve ».

Ce fut à ce moment-là que la bataille commença. Du haut de son donjon Aliénor entendit les épées se toucher et les hommes crier, la bataille devait être impressionnante. Cédric put s’éclipser et aller délivrer la princesse, malheureusement quelques hommes se trouvaient encore dans la cour, celui-ci les embrocha les uns après les autres. Puis il monta au donjon pour délivrer la merveilleuse princesse, par malheur le seigneur du château l’avait vu monter et décida de mettre le feu à son habitation. Quand Cédric arriva en haut, la Dame s’exclama:

« Mon beau chevalier, que vous êtes preux de venir me secourir!

-Il faut nous dépêcher, ma dame, » lui répondit le chevalier.

Aprês sa libération, la princesse s’écria:

« Mais quelle odeur désagréable! »

Le chevalier qui l’avait aussi sentie se tourna vers la fenêtre, en effet des flammes s’échappaient du toit de la chapelle.

« Vite, dépêchez-vous ma Dame à moins que vous ne vouliez périr brûlée vive, s’écria Cédric, l’escalier n’est point en flammes nous passerons par là! »

Les deux amis descendirent du donjon, mais en arrivant en bas, le seigneur du château les attendait.

« Eh bien, vous ne pensiez quand même pas partir sans me dire au revoir, » déclara Guillaume le Chauve.

Celui-ci attrapa son épée et commença à se battre contre le chevalier, la Dame vit de ses yeux son courage.

Après quelques minutes de combat, Cédric enfonça la pointe de son épée dans la jambe du seigneur, ce dernier s’effondra.

« Pitié, ne me laissez point mourir ici! » supplia Guillaume le Chauve.

Mais le chevalier emmena loin du château enflammé et laissa celle-ci monter son cheval. Pour le remercier, la Dame lui offrit un baiser sur la joue. »

WECKERLE Elodie, 5ème A

« Devant le château de Talmont Saint Hilaire, je m’arrêtai et remis mes armes en place. Jusque là je n’étais qu’un simple chevalier mais ma vie allait changer. En arrivant dans la basse cour, Guillaume le Chauve m’attendait, il me questionna:

« Que viens-tu faire ici? et qui es-tu?

-Je suis le chevalier Antoine et je suis ici pour délivrer la princesse Aliénor!

-Tu penses vraiment que toi, pauvre chevalier, peux combattre contre moi?

-J’y mettrai tout ce que je peux, même ma vie!

-C’est ce que l’on verra! » gronda-t-il.

Il ne me faisait pas peur avec sa grande cape et sa gigantesque épée. Il devait n’avoir pas plus de deux cheveux sur la tête. Son premier coup d’épée fut d’une force redoutable, j’eus juste le temps de l’éviter et de courir me réfugier dans le château alors que Guillaume avait coincé son épée dans la cour du château. J’en profitai pour monter au sommet du donjon bientôt rattrapé par ce dernier qui ne voulait en aucun cas me laisser Aliénor. Quand j’arrivai en haut, je découvris la vue du château qui était magnifique, dans l’eau des douves je vis plein d’espèces de poissons qui vivaient là tranquillement. Guillaume arriva auprès de moi, nos épées se touchèrent une vingtaine de fois.

Pendant les deux minutes qui suivirent aucun coup d’épée ne fut porté, le temps que tous les deux nous reprenions notre souffle. D’un coup, il me déclara:

« Tu n’es qu’un simple chevalier, tu es peut-être plus beau que moi, et tu as de longs cheveux, mais jamais tu ne pourras me battre! Je te le demande une fois et ce sera la dernière, si tu abandonnes maintenant je te laisserai partir sans danger, alors que si tu veux te battre encore que tu t’en sortes ou pas, je te tuerai!

-Je me battrai pour Aliénor, jusqu’à en mourir! dis-je, convaincu.

-Tu es convaincu et courageux c’est bien mais il en faudra plus! » cria-t-il.

A ce moment-là je lui envoyai mon épée qui lui arriva en plein dans la jambe, et partis en courant essayer de trouver la magnifique princesse, qui se trouvait dans les appartements, enfermée dans une chambre. Mais Guillaume gronda derrière moi:

« Tu croyais t’être débarrassé de moi mais je ne suis pas si facile à avoir! »

Il me jeta un dernier coup d’épée qui me rata et cassa la serrure de la porte, ce qui délivra Aliénor. Je lui portai un coup d’épée dans le ventre, ce qui le fit tomber à terre, alors qu’Aliénor tomba dans mes bras et m’embrassa, elle me déclara alors:

« Oh Antoine vous êtes un chevalier sans peur, sans reproche, courtois et surtout très élégant.

-Arrêtez Aliénor, je n’ai fait que mon devoir!

-Non ce n’est pas vrai, aucun autre chevalier ne l’aurait fait! Je vous aime, Antoine.

-Je vous aime aussi, mais je ne peux point vous aimer plus que ces mots, ma blessure s’est infectée et je mais sûrement en mourir…

-Je ne vous laisserai jamais mourir! Jamais! » chuchota-t-elle.

Quelques années plus tard quand Antoine fut rétabli de ses blessures, ils se marièrent et eurent trois enfants. »

PFLIEGER Amélie, 5ème A

 Sources des images:  http://www.google.fr/url?source=imglanding&ct=img&q=http://lorl.free.fr/Image38.gif&sa=X&ei=lQTbT8T1FKnK0QWJ34iLCw&ved=0CA4Q8wc&usg=AFQjCNEJ8E2vdMopFJcjsDnuSHGwVf0GUQ

http://www.jedecouvrelafrance.com/f-501.vendee-chateau-talmont.html

 

Arthur Rimbaud

Arthur Rimbaud,

Jean Nicolas Arthur Rimbaud est un poète français , né le 20 Octobre 1854 à Charleville et mort le 10 novembre 1891 à Marseille.Arthur Rimbaud écrit ses premiers poèmes à quinze ans. En 1865 il entre au collège. Dans un poème violent , il dénonce la lâcheté des vainqueurs. Selon Paul Verlaine, Rimbaud a composé son plus beau poème en vers son sujet était la douleur sacrée causée par la chute de la commune.

source du texte: Wikipédia et  http://www.monsieur-biographie.com/celebrite/biographie/arthur_rimbaud-1026.php

Tant que la lame n’aura
Pas coupé cette cervelle,
Ce paquet blanc, vert et gras,
A vapeur jamais nouvelle,

(Ah ! Lui, devrait couper son
Nez, sa lèvre, ses oreilles,
Son ventre ! et faire abandon
De ses jambes ! ô merveille !)

Mais non ; vrai, je crois que tant
Que pour sa tête la lame,
Que les cailloux pour son flanc,
Que pour ses boyaux la flamme,

N’auront pas agi, l’enfant
Gêneur, la si sotte bête,
Ne doit cesser un instant
De ruser et d’être traître,

Comme un chat des Monts-Rocheux,
D’empuantir toutes sphères !
Qu’à sa mort pourtant, ô mon Dieu !
S’élève quelque prière !

source du poème:  http://poesie.webnet.fr/lesgrandsclassiques/poemes/arthur_rimbaud/honte.html

source de l’image: http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/d1/Carjat_Arthur_Rimbaud_1872_n2.jpg/220px-Carjat_Arthur_Rimbaud_1872_n2.jpg

Zacharie Pereira de Lima, 4ème A