Expérience de la Maïzena.

But de l’expérience :

Fabriquer un fluide non newtonien : c’est un fluide qui ne se comporte pas comme un fluide courant ( pas comme l’eau).

Pour commencer nous avons regardé une vidéo. Dans cette vidéo ils font l’expérience de la Maïzena dans un grand bassin. Dans ce bassin ils ont mélangé de l’eau et de la Maïzena :

– Premier essai : ils ont marché sur le fluide, mais ils coulaient.

– Deuxième essai : ils ont couru sur le fluide, et arrivaient à courir sur le fluide d’un bout à l’autre du bassin.

Expérience :

Nous avons versé dans une éprouvette graduée 45mL d’eau que nous avons reversé dans un bécher. Puis nous avons pesé 55g de Maïzena dans un autre bécher. Puis nous avons versé le bécher contenant la Maïzena dans le bécher contenant de l’eau . Nous avons plongé notre doigt doucement dans le fluide et il paraissait liquide puis, nous avons plongé notre doigt rapidement dans le fluide et il paraissait solide !

Explications :

Les molécules de la Maïzena sont grosses et rugueuses, elles sont collées les unes aux autres. Avec le mouvement lent du doigt les molécules ont le temps de se déplacer, mais avec un mouvement rapide elle n’ont pas le temps de se déplacer.

Voilà quelques photos prises pendant l’expérience :

 

 

 

 

 

 

L’exposition « L’énergie, quels choix pour demain ? » au CDI

L’exposition de Yann Arthus Bertrand sera exposée au CDI du 07/01/2013 au 31/01/2013.

http://www.ledeveloppementdurable.fr/energie/page/pourquoi.html

 

Pour en savoir plus sur cette exposition, vous pouvez consulter le sie de la Fondation Goodplanet en cliquant ici.

En complément de l’exposition, vous pouvez consulter des fiches pédagogiques ici.

Un concours aura lieu du 07/01 au 31/01 2013 autour de cette exposition au CDI avec deux billets pour Electropolis à gagner pour celui qui aura le mieux répondu au questionnaire.

Vous pouvez consulter le questionnaire du concours en ligne.

Bonne chance à tous !

 

 

 

Christine Dubocage

 

C’est Alice Panfalone de 6A qui a gagné ce concours. Félicitations !

 

 

 

 

Mini marché de Noël au CDI pour un collège au Sénégal du 11/12 au 21/12

Pour aider nos correspondants du Sénégal à financer leur projet de bibliothèque et de cantine, vous pouvez venir acheter des petits objets au CDI (bijoux, portefeuilles, paréos, trousses…).

Tous les élèves qui souhaitent avoir un correspondant peuvent également venir au CDI.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter cette page du blog du collège.

Pour en savoir plus sur cette association et le but de cette vente, vous pouvez consulter ici la page du journal interne du journal Gérard de Nerval de Village-Neuf de Décembre.

Venez nombreux !

Christine Dubocage

 

La Météorologie

Présentation du métier (en quoi ça consiste)
Un météorologue est un spécialiste des phénomènes atmosphériques, il étudie et analyse les causes et les effets des changements climatiques. Il établit des prévisions et anticipe les risques de catastrophe naturelle. Il étudie les pressions, les températures, l’humidité. Il s’aide de plusieurs instruments très précis tels que la girouette, le baromètre, ou encore les satellites. Il peut également s’appuyer sur des connaissances en hydrologie, en océanographie ou en climatologie.

Qualités nécessaires
Pour être météorologue, il faut être patient, rigoureux, s’intéresser aux phénomènes naturels, aimer les mathématiques, la biologie et la chimie. Il doit être méticuleux et doit avoir un goût prononcé pour l’observation. De plus, il faut s’exprimer couramment en anglais, langue internationale de la météo.

Études/formation/diplôme
Pour être météorologue il faut au minimum avoir un bac + 2 et un diplôme d’ingénieur de l’école nationale de la météorologie. Il faut faire un concours, il y a très peu de places.

Évolution professionnelle
Avec le temps, les études et l’expérience, on peut vite évoluer dans le métier.
Il existe de rares opportunités de travail dans la recherche atmosphérique au CNRS, ou dans certaines universités.

Principaux débouchés (places dans le monde du travail)

Météo France propose la plupart des postes de météorologue, environ 30 personnes par an.

La météo en général

La météo change d’un pays à un autre, et même dans un même pays, en France par exemple, la météo change d’une région à une autre.
La météo peut évoluer très vite, en une journée, elle peut changer, passer de ciel bleu à orage, de pluie à beau temps, etc…

Ceci est un ballon-sonde, il sert à mesurer la pression atmosphérique et la force du vent.

 

Bachmann Jeanne 3C, Naly Valentin 3B


Ingénieur plasturgiste

1)   Présentation du métier :

Un ingénieur plasturgiste est un ingénieur qui crée du plastique.

La plasturgie est un secteur innovant qui se porte bien et qui de surcroît offre des débouchés aux jeunes diplômés du BAC+5.

C’est la science et la technique de la transformation des matières plastiques en vue de leurs applications. Ces applications sont l’hygiène, la sécurité, la santé, le transport, les hautes technologies, le stockage de produits dangereux (bouteille de gaz…) et le vestimentaire.

Il existe énormément de plastiques différents, le plasturgiste en connaît toutes les sortes ce qui est une bonne performance (la Materiautech d’Onyonax en recense plus de 300 différents !), ce qui offre des possibilités de création de matériaux extrêmement diverses pour l’ingénieur cherchant à créer de nouveaux matériaux plus solides, plus légers etc. La maîtrise des caractères du plastique (touché, odeur, souplesse, solidité, transparence ou opacité et bien plus), permettent de faire avancer plusieurs secteurs comme le transport.

Un autre exemple, la médecine :

L’évolution des matériaux plastiques est entré en parallèle avec ce secteur; les lentilles, les seringues, des pièces de remplacement du corps humain pour refaire fonctionner le cœur, les reins, les poumons, les articulations ainsi que les dents ou encore l’ouïe.

Certains plastiques sont biocompatibles avec le corps humain ce qui permet de reconstruire des tendons lésés et d’utiliser des microsondes.

Conclusion: les ingénieurs plasturgistes créent des plastiques qui seront utilisés dans tous les domaines existants et sont omniprésents car tous les plastiques ne sont pas toujours adaptés à certains domaines et ils en créent de nouveaux pour les adapter. Ils améliorent notre confort de vie de façon considérable et permettent aux gens d’accéder à, par exemple, la médecine en baissant le prix de certaines opérations.

2)   Qualités nécessaires :

 

– Il faut avoir une connaissance technique car il faut connaître la robotique, l’hydraulique, l’électronique, la chimie et avoir une capacité d’adaptation aux environnements différents qu’impliquent le plastique.

– L’ingénieur plasturgiste encadre une équipe, il faut donc aimer organiser et gérer pour pouvoir apprécier ce métier.

3)   Etudes, formations, diplôme :

 

– Il faut aimer travailler car il faut avoir un bon niveau et un BAC+5 en préparant un diplôme d’ingénieur ou un master universitaire.

4)   Évolution professionnelle :

 

L’ingénieur plasturgiste est très recherché dans l’industrie française car les jeunes salariés sont  très vite répartis dans les quatre secteurs (l’emballage, la construction, le transport, l’industrie électrique et électronique), et sont vite pris en charge par des cadres eux aussi très recherchés car ce n’est pas un métier extrêmement connu. Ils accèdent parfois à des postes de direction pour vérifier la qualité des produits en élaboration tout en prenant en charge un projet.

Un simple plasturgiste gagne 2300€ brut par mois.

5)   Principaux débouchés :

Les principaux débouchés sont l’emballage, la construction, le transport, l’industrie électronique et électrique.

 

 

Benjamin MULLER 3B

Lucas VORBURGER 3B

Projet d’acte règlementaire pour le portail documentaire E-sidoc

Le collège de l’Ill a mis en ligne sa base de données documentaires : E-sidoc.

 

Ce portail est accessible à partir du site du collège de l’Ill dans les sites indispensables.

  • Il permet de découvrir des informations pratiques concernant le CDI.

 

Vous pouvez consulter ici le projet d’acte règlementaire envoyé à la CNIL après accord du Conseil d’Administration du 27/11/2012.

Pour lire la demande d’avis de la CNIL, cliquez ici.

 

 

 

Fiche métier : Aromaticien/Formulateur

Présentation du métier :

 

Un aromaticien est un spécialiste du goût et de l’odorat. Dans son labo, il déguste, sent les produits alimentaires élaborés par les ingénieurs en nutrition. Il détermine alors s’ils sont appétissants en fonction de leur goût  (trop chimique, trop acide …), leur odeur. C’est également à lui d’ajouter des saveurs aux médicaments pour mieux les avaler.

Certains processus utilisés par l’industrie alimentaire dénaturent les aliments, l’aromaticien est donc chargé de leur redonner un goût et une odeur.

Certains produits créés peuvent sentir une odeur qu’ils ne contiennent pas.

Il travaille à un bout de la chaîne agroalimentaire. Il peut aussi avoir à composer des arômes pour masquer l’odeur désagréable de produits comme les lessives, les détergents ou les insecticides.

Qualités nécessaires :


Il faut être persévérant et patient ! Acquérir une parfaite maîtrise du goût et de l’odorat demande beaucoup d’années de pratique.

Le plaisir de trouver le mariage idéal de saveurs. C’est presque un travail de parfumeur quand on sait qu’il existe près de 1500 arômes différents !

C’est un métier qui exige une hygiène de vie contraignante. L’aromaticien doit quotidiennement prendre soin de son goût et de son odorat (pas d’alcool, pas de tabac …).

Études/formation/diplôme :

 

Cinq ans après le bac dans une université de sciences (agronomique, agroalimentaire ou chimique) ou dans une école d’ingénieur qui offre une spécialisation en chimie fine à partir de la quatrième année. Il y a de grandes écoles à Nantes et Marseille.

 

Évolution professionnelle :


Il travaille 35 heures par semaine du lundi au vendredi.

Il gagne 2000 € par mois en tant que débutant.


Principaux débouchés :

 

Il y a de la place dans des laboratoires de recherche privés (Danone, Nestlé …) ou publics (INRA *…).

VOCABULAIRE :

* INRA : Institut national de la recherche agronomique

 

 

HOLSTEIN Claire & FABBRO Oriane 3B

Le chargé d’hygiène sécurité environnement

 

Présentation du métier

 

Le chargé d’hygiène sécurité environnement est celui qui veille à réduire l’impact de l’activité industrielle sur l’environnement, mais aussi les risques d’accidents du travail, de maladies professionnelles, de nuisances sonores… au sein de son entreprise.

Le chargé HSE s’assure de la fiabilité des installations (systèmes d’alarme, portes coupe-feu, etc.) et veille à l’application de toutes les nouvelles normes en vigueur. Il rédige les consignes de sécurité, depuis l’interdiction de fumer jusqu’au port d’une tenue réglementaire. Il contrôle les conditions de travail du personnel et intervient en urgence s’il observe un risque précis.

 

Les qualités nécessaires

 

Des compétences scientifiques, techniques et juridiques sont nécessaires pour ce métier mais il faut aussi savoir communiquer auprès du personnel en lui rappelant qu’il est  exposé à de nombreux risques. Sans oublier du sang froid pour gérer les situations d’urgences (brûlures, chutes, inondations…)

 

 

Les études, les formations, les diplômes

Pour travailler dans ce métier, il faut le bac +2 : BTS et DUT dans le domaine de l’hygiène et de l’environnement mais on peut également faire un Bac +3 pour obtenir des licences pro mention industries chimiques ou sécurité des biens et des personnes.

 

Évolution professionnelle

 

Après quelques années d’expérience, le chargé HSE peut devenir responsable d’environnement hygiène sécurité. Sa mission consiste alors à élaborer la politique de sécurité de l’entreprise, d’en assurer la mise en place, l’animation et le suivi. Il peut aussi s’orienter vers le métier de consultant sécurité et/ou environnement.

 

Principaux débouchés

On peut basculer sur l’exploitation et dans ce cas manager une équipe de préparateur et même de contrôleur pour rester sur le thème de la qualité.

Fiche métier: chercheur en chimie

Présentation du métier :

Le principal objectif du chercheur en chimie est de faire progresser la science.

Il transforme des matières premières grâce à des procédés chimiques et peut créer de nouvelles substances à partir de réactions chimiques. Son travail est principalement basé sur l’observation, l’émission d’hypothèses nécessaires aux expériences qui peuvent mener à des découvertes intéressantes qui sont alors reprises par les laboratoires privés qui les développent pour conclure si cette découverte a un impact sur les secteurs pharmaceutiques, agro-alimentaire et environnementaux…

Pour pouvoir exercer ce métier, il serait préférable de posséder ces qualités spécifiques : il faut être curieux, motivé, inventif, organisé, méthodique, autonome et il faut aimer apprendre.

Les études :

Pour les ingénieurs chimiques, il y a 5 ans d’études en chimie à l’université dans le but de décrocher un master ou pour ceux qui veulent aller plus loin c’est-à-dire pour les chercheurs, il y a 8 ans d’études pour décrocher cette fois-ci un doctorat.

Les débouchés :

Le chercheur en chimie peut travailler dans des laboratoires publics ou privés associés à des organismes de recherche publique ou privée après avoir passé un concours très sélectif pour avoir un emploi.

Évolution professionnelle :

Dans le métier de chercheur en chimie on peut évoluer avec l’expérience et devenir responsable de sa propre unité de recherche après en avoir fait soi-même parti.

 

 

 

 

 

 

C. ZUSSY, A. STALTER, 3°C