Bamberg

10409898_782523261772280_342169289_n Pour commencer, un guide nous a un peu expliqué la ville de Bamberg.

Bamberg est une ville allemande qui se situe en Bavière, au sud de l’Allemagne. Depuis le début du 19e siècle, Bamberg a été rattachée à la Bavière.
La ville se divise en trois parties, deux parties sont situées sur deux collines différentes, et l’autre partie est située sur une petite île. Parce que la rivière éclipse qui traverse Bamberg a deux bras. On était plutôt vers le bras gauche et de l’autre côté de la ville, il y a le bras droit qui est aujourd’hui identique au canal qui relie le Rhin, le Main et le Danube.
Dans le temps, Bamberg était la ville des évêques, la ville spirituelle. Les habitants de Bamberg sont surnommés les « pietineurs d’oignons » et en allemand « Zwiebeln Treter ». Pendant la deuxième guerre mondiale, la ville a été épargnée, il n’y avait presque pas de destructions.
Nous sommes allés dans le quartier « la petite Venise ». (A Colmar, nous avons aussi une petite Venise) Donc dans ce quartier, dans le temps, il y avait plein de maisons de pêcheurs. Il n’y avait pas de jardins car les pêcheurs pouvaient rentrer sous les maisons et pouvaient stocker leur poisson dans l’eau froide ; il n’y avait pas de réfrigérateur. À l’époque, les inondations posaient un grand problème car ces maisons étaient au bord de l’eau. Mais plus maintenant car la rivière est réglée par le canal qui relie les trois fleuves. Il y a aussi une prison à Bamberg.
Nous sommes allés dans la Cathédrale Saint-Pierre et Saint-Georges. Elle mesure 94 m de long, 28 m de large, 26 m de haut, et les quatre tours atteignent chacune 81 m de haut. Parmi tous les ouvrages de la cathédrale la tombe de marbre, taillée entre 1499 et 1513, où reposent Henri II et sa femme, l’impératrice Sainte Cunégonde est considérée comme le chef d’œuvre du sculpteur Tilman Riemenschneider. Sur la porte de la cathédrale, il y a un diable avec une chaine qui les emmène en enfer. On aurait pu remarquer que derrière le diable, il y a quelqu’un qui porte la couronne d’un roi. Derrière le roi il y a un évêque et devant l’évêque il y a quelqu’un qui porte un sac à la main qui est sûrement un homme riche et à côté de lui il y a un pape.
À ce qu’il parait, l’artiste n’a pas accompli sa mission parce qu’il a présenté la synagogue plus belle que l’église catholique. La statue de la synagogue dans la cathédrale de Strasbourg et à Paris à Notre Dame alors qu’à Bamberg il n’y a que des copies.
Nous sommes ensuite allés dans une cour médiévale. Les bâtiments ont été construits au milieu du 15eme siècle. Avant, dans ces bâtiments il y avait des cuisines, des appartements pour les servantes et les paysans sont venu dans la cour pour apporter du blé. Ils ont tout stocké dans les greniers. Beaucoup de films ont été tournés.
Nous sommes allés dans un genre de jardins avec une belle vue sur Bamberg. Il y avait plus de 4500 rosiers et 48 espèces différentes de roses. D’ici, on pouvait remarquer que Bamberg était une ville médiévale parce que les maisons sont dans un désordre complet. Le monastère a été fondé en 1015.
Nous sommes allés devant une brasserie assez connue. Il ne reste plus que 9 brasseries à Bamberg. C’est là où ils font la bière fumée qui est une des spécialités à Bamberg.
Nous sommes allés dans le quartier d’antiquaire.
Il y a un ancien bâtiment qui se trouve au milieu de la rivière qui est l’ancienne mairie de Bamberg. On y trouve fresques ; des peintures typiquement baroques. Il y a un pied qui sort du mur qui est aussi typique baroque. Parce que l’âge baroque disait toujours que le monde était irréel et imaginaire. C‘était (le pied) en plastique. C’est ce qu’on appelle un trompe l’oeil.

STEIN Amélie 4B

olympiade et ballon prisonnier

Le lundi après midi , nous avons fait du ballon prisonnier. Les professeurs d’allemand et de français ont tiré au sort  quatre  équipes de 12 joueurs. Les matchs duraient   au maximum sept minutes et il y avait trois ballons dans chaque terrain , ce n’était pas très facile.  A chaque début de match les équipes devaient choisir un prisonnier volontaire. En cas de perte de tous les membres d’une équipe , celui-ci  se retrouvait seul dans son terrain avec les trois balles  pour tenter de sauver l’équipe. Toutes les équipes se sont rencontrées au moins une fois. Nous avons ensuite fait des courses de relais. Nous avons gardé les mêmes  équipes qu’au ballon prisonnier. Dans chaque  course il fallait  être le plus rapide pour aller jusqu’à un plot qui se situait à une dizaine de mètres et revenir. Dans la première course il fallait courir le plus vite possible jusqu’au plot et revenir à reculons. A un autre moment il fallait faire de  la corde à sauter en courant. Ou alors il fallait courir en dribblant avec une balle de basket puis deux , peu d’élèves ont réussi avec deux balles. Nous avons encore fait quelques autres courses de relais. Il y a eu un bon nombre de chutes mais jamais rien de grave. Pour résumer nous nous sommes tous très bien amusés.

olympiades

Simon Zumbiehl

 

4° A

olympiades



 

 

 

 

Samedi après-midi chez mon correspondant

Après l’arrivée du bus au lycée et un casse croûte à la mensa, nous sommes tous allés chez nos correspondants. Tout d’abord mon correspondant m’a fait visiter la maison puis il m’a montré ma chambre et m’a offert quelques cadeaux dont une balle de la finale de la Champions league qui se jouait juste le soir au stade du Bayern. J’ai défait mes valises (chose que tout le monde a fait forcément) puis nous sommes allés, mon correspondant et moi, sur un parking jouer au foot et au handball car là où il habite il n’y a pas de terrain de foot. Nous sommes revenus pour manger assez tôt car bien sûr le match du Bayern, que les Allemands ne pouvaient pas manquer, commençait à 8 heures 30. Une fois le barbecue fini, là où j’ai goûté les saucisses de Nuremberg,  nous sommes tous rentrés pour regarder le match. Le match fini ce fut une petite déception pour les Allemands car le Bayern Munich a perdu face à Chelsea. Puis ce fut l’heure d’aller se coucher car le lendemain une grosse journée nous attendait.

Théo Fremiot 4C

Départ, bus et arrivée à Nürnberg

Samedi 19 mai nous avons rendez-vous à 8h au collège. Quand je suis arrivée il n’y avait que quelques personnes; 5 à 10 minutes plus tard tout le monde était là. Après avoir mis nos valises dans la soute, nous avons imaginé comment cela pourrait être là bas. C’est l’heure de partir: nous disons un au revoir à nos parents et c’est parti pour 6 heures de bus…

 

Une fois dans le bus, nous avons vite pris nos aises. Certains font des jeux de sociétés d‘autres écoutent de la musique ou encore  prennent des photos, révisent les sketchs … etc.                                                                                                                                                                         Vers 11 heures nous prenons le pique-nique, la prof nous informe qu’il faut payer pour aller aux toilettes donc prenez vos sous ! Après le repas c’est parti pour encore quelques heures de bus …

 

On commence à stresser, plus que 30 minutes 

 

 

Une fois arrivés là bas nous étions très contents de revoir notre corres, les parents nous ont pris les valises et nous avons dit à nos corres ce que nous avions appris avec les fiches de vocabulaire, pour ma part ma corres a compris  et elle m’a répondu comme sa maman. Ensuite nous sommes allés  sur la Dachterrasse. La Dachterrasse c’est une terrasse sur le toit du lycée où l’on voit toute la ville de Nürnberg: c’est une super vue mais je n’ai pas pu la photographier car j’avais oublié mon appareil en bas dans le hall.

 

Après cela nous sommes rentrés chez elle et elle m’a fait visiter sa maison, elle m’a proposé à boire ou même à manger. Je me suis vraiment sentie tout de suite à l’aise et ses parents comme sa soeur étaient vraiment très gentils.


FABBRO Oriane ♥

accrobranche à pottenstein

 

 

 

  😉  Jules en pleine action 

Le Mardi 22 mai 2012, nous sommes allés faire de l’accrobranche à Pottenstein . Lorsque  nous sommes arrivés,  on nous a  expliqué  les règles de sécurité  qu’il faut appliquer sur les parcours et ensuite on nous a équipés. On nous  a montré le fonctionnement du matériel  (la poulie , les mousquetons). Il  y avait 10 parcours, dont 2 en vert, 2 en bleu vert, 2 en bleu, 3 en rouge et pour finir le plus dur de tous les parcours signalisé en noir.

Chacun a pu choisir son parcours en évitant le parcours noir car c’etait interdit aux enfants de moins de 13 ans et que les enfants   qui avaient 14 ans devaient être  accompagnés d’un  adulte. Et donc  on s’est dispersé  sur les  pistes et on est parti  pour 3 heures  de plaisir et de frayeur. Vers 13 heures on s’est arrêté. On nous a déséquipés et on a pu déguster un  sandwich bien mérité.

 Klein Léa

Les cours en Allemagne

Les cours en Allemagne.

Nous nous sommes fait emmener dans des cours tous différents, certains ont été en art-plastique et d’autre en mathématiques … Les cours en Allemagne durent 45 minutes.  Je suis allée en cours de mathématiques pendant la première heure et en anglais pendant la deuxième heure , je suis restée dans la même classe les deux heures avec Marthe, Lucien et Claire . Dans la classe où nous sommes allés il y avait 29 élèves . En mathématiques nous n’avons pas compris tout ce que le professeur disait car elle parlait très vite et les élèves étaient très agités , les stylos volaient , les élèves buvaient et mangeaient ,  le professeur n’avait aucune autorité et ne se faisait pas respecter par ses élèves. Puis en anglais, cette fois si les élèves se tenaient tranquilles , ils étaient sages et ne parlaient pas. J’ai pu remarquer que le niveau d’anglais est plus élevé que le niveau de notre collège alors qu’ils sont en 5ème et que nous sommes en 4ème. J’ai pu entendre qu’ en art-plastique les élèves ont pu sculpter sur du savon, ça devait être cool !
 

La classe.

Voici un professeur en train de faire son cours !

                                                       Jaemy Peaudecerf  4°B

Les souterrains de Nuremberg.

Le jeudi matin, après être allés au planétarium, nous sommes allés visiter les souterrains de Nuremberg qui servaient autrefois de caves à bière.  Il y a 25000 m2 de cave, la fermentation des bières se faisait dans celles-ci où la température  frôlait les 8°C. Nous avons donc dû nous habiller plus chaudement.

Nous avons aussi appris que le 2 janvier 1945, 250 avions ont lâché 1 million de bombes sur Nuremberg, les caves servaient alors à protéger la population.  La ville a été détruite à 90%, grâce à ces caves il n’y a eu « que » 6000 morts alors que dans d’autres villes les  bombardements en causaient plus de 50 000. 

Une de ces caves portait le nom d’Agnès qui était le nom de la femme d’Albert Dürer,celui-ci était un peintre très célèbre. Les caves sont faites de grès mais comme celui-ci absorbe l’eau, la population a mis de l’argile pour que l’eau ne passe plus. Pour descendre les tonneaux, des personnes les faisaient rouler sur des escaliers. A partir de 1835, des ouvriers ont construit 4 étages de caves car la population augmentait. En juin 1945, ils ont reconstruit la cité car les attaques ont dévasté  la ville.

En 1978, les ouvriers travaillaient  dans les caves où ils stockaient des cornichons ou de la choucroute qu’ils amenaient par un grand tuyau. Au Moyen-Age les habitants buvaient 1,5L de bière par personne par jour.

Après s’être  informés sur ces souterrains, nous étions contents de sortir remplis de souvenir historique mais aussi contents de sortir à la lumière du jour et de nous réchauffer.

Hélène CHASSIGNET

Dimanche en famille chez mon correspondant

Le dimanche matin je me suis reveillé vers 8 heures 30, puis arrive le petit dejeuner en famille, un moment important de la journée car pour moi c’était le premier repas en famille. La famille de mon correspondant a fait un effort pour moi en me proposant un petit déjeuner français mais ce fut le seul de la semaine. Vers les environs de 10 heures nous avons pris la voiture, direction la piscine. Après 30 minutes de trajet et s’être mis en maillot de bain, un petit plongeon ne fait pas de mal. Plus tard nous avons rencontré Marthe, Clara C. et Léa K. avec leurs correspondantes. Nous sommes restés tous ensemble et nous nous sommes bien amusés. Quand nous commencions à avoir faim, et oui la piscine ça creuse, heureusement une cafétéria était  dans l’enceinte de la piscine. Après le repas nous avons fait un dernier plongeon. La piscine ça creuse mais ça fatigue aussi. Il a fallu qu’une petite sieste s’impose une fois rentrés. Après avoir repris des forces, direction le bowling pour deux parties qui s’annoncent catastrophiques pour moi. Bien entendu comme je le pensais je suis arrivé 3eme … sur 3.

Après cette suberbe journée, restait encore une semaine innoubliable!

Gauthier Garbo 4A


Départ des Français

Léa&Lucia

gros câlin avant de partir

Vous faire cet article sera difficile … ( et oui je vais essayer de ne pas fondre en larmes). Le voyage retour a été très émouvant, tout le monde était là, correspondants, parents et bien sûr les professeurs. Nous sommes donc arrivés devant le
collège valises à la main et coeur serré. Puis une fois tout le monde arrivé nous nous sommes dit au revoir, parfois même adieu.
Les larmes étaient évidemment au rendez vous, quitter nos familles allemandes était aussi très dur !!!
Malheureusement la fin de ce beau rêve allemand était là, nous sommes rentrés dans le bus, ce bus qui nous séparait de nos correspondants, et quand il démarra ce fût vraiment très décevant car nous savions qu’il n’y avait pas de moyens pour revenir en arrière  et c’était une très grande amitié avec tant de personnes qui se brisait … Nous avions beau crier : << DEMI TOUR !!!!!!!!!!!!!!!!!>> à notre cher chauffeur allemand, il ne l’a jamais fait. Dans le bus il nous a fallu un sacré bout de temps pour nous remettre de nos émotions. Puis pendant le voyage nous avons fait un bilan de ce que nous avions aimé mais aussi de ce que nous n’avions pas aimé, nous avons fait des textes en français pour s’entraîner aux textes à écrire en allemand dans le carnet de bord. Certains, comme moi on continué les carnets de bord, coloriage, Tagebuch etc … 
 Léa CIAVARELLA 

Buffet de Nuremberg

Le jeudi 24 mai, nous avons refait pour la deuxième et dernière fois, (malheureusement…) notre spectacle. Ce fut à nouveau une partie d’angoisse mais ce fut aussi une partie de joie, d’envie, de folie, de rire ! Le spectacle commença à 18 h 30. Entre toutes les personnes qui couraient à droite et à gauche pour les derniers préparatifs et ceux qui répétaient leurs danses ou leurs sketchs, la tension fut à son comble…
Le spectacle était le même qu’en France, le même ordre sauf qu’il y a eu quelques rajouts notamment des morceaux de musique comme par exemple le papa d’une Allemande et sa fille qui ont chanté une chanson, en français, accompagnés d’un piano, c‘était superbe! Que dire d’autre à part que tout était bien ?  Le spectacle passa très très très vite ! On n’eut même pas le temps de se rendre compte que c’était fini ! Fiers de notre prestation qui a eu beaucoup de succès et notre angoisse qui est retombée, nous pouvions à présent nous détendre et tout ranger.

 

Mais danser, chanter, faire du sport met en appétit. Donc, vers 20 h 30, nous avons pris place dans la cantine du lycée Scharrer Gymnasium afin de goûter au merveilleux buffet concocté par les parents de nos correspondants. Ce fut plutôt un festin qu’un buffet…Salades de tout genre : salades de pâtes, de poivrons, de tomates, salade verte etc…
 Des brochettes de légumes, des variétés de fromages à votre convenance, de la viande, des saucisses de tous les goûts, toutes sortes de pains les plus délicieux les uns que les autres (personnellement je trouve que le pain aux céréales était un délice!!) et pour finir des desserts hors pair tel que du tiramisu, de la salade de fruits, un gâteau à la framboise… Tout était excellent…! Il y avait tellement de choses qu’on ne savait pas quoi choisir! Nous avons même demandé aux parents certaines recettes.

Une fois le repas terminé et nos estomacs rassasiés, nous sommes sortis dans la cour du collège et avons profité des quelques heures qui nous restaient encore tous ensemble, car le lendemain nous prenions le bus pour rentrer en France

FEDER Sophie.