Cuisinier(ère)

AMIOT Théo, 3C

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INTRODUCTION

J’ai choisi de vous présenter le métier de cuisinier car c’est celui que j’ai découvert en stage et cela m’a vraiment plus.

Cuisinier(ère) : De sa créativité et de son talent dépendent le plaisir gustatif des clients et la renommée d’un restaurant. Fin gourmet, curieux et infatigable, le cuisinier exerce une profession qui jouit d’un marché de l’emploi des plus favorables.

 

1.   DESCRIPTION DU METIER

1.1.           Tâches réalisées

Un cuisinier est capable de nombreuses choses qui sont, pour la plupart, essentielles au fonctionnement d’un restaurant. D’un point de vue gestion, il y a deux aspect : la gestion des stocks qui consiste à surveiller que l’approvisionnement se déroule correctement et si les produits sont toujours frais (péremption…). Le second aspect est plus humain car un cuisinier est aussi un meneur, il dirige très souvent une équipe. Il est aussi capable de prouesses culinaires, allant de la préparation au dressage, en passant par la cuisson. Souvent au sein d’une équipe, il peut être assigné à une tâche particulière ou à plusieurs de différentes natures.

1.2.           Matériel utilisé

Du couteau d’office à la spatule, le cuisinier utilise différents type de matériels. En matière de couteau, un cuisinier en dispose un set complet avec différentes formes de lames qui ont des utilités diverses (ex : couteau d’office è couper les légumes). D’autres ustensiles, plus accessibles, sont tout aussi utilisés. Durant chaque service un cuisinier peut utiliser une cuillère en bois ou un chinois à diverses fins. Mais le cuisinier est aussi capable d’utiliser les fourneaux et les différents types de casseroles. Au-delà de savoir utiliser le piano et le four, il est capable d’utiliser une plancha (= petit grill) et une salamandre (= petit four résistance mobile).

1.3.           Lieu de travail

Au-delà du simple restaurant, un cuisinier peut travailler dans un palace mais aussi dans une cantine, un hôpital, un hôtel, un aéroport…

1.4.           Collaborateurs

Quelque soit son lieu de travail, un cuisinier est rarement seul : il est majoritairement au sein d’une équipe et peut être assisté par un commis. Il est sous la direction d’un chef de partie qui lui-même agit sous les directives du chef de cuisine.

1.5.           Horaires

Les horaires sont très peu avantageux : tous les jours de la semaine, dimanche compris, de 9 h à 14 h le matin et de 18 h à 23 h le soir. De plus, les restaurants sont souvent pleins le week-end et sont ouverts les jours de fêtes.

1.6.           Salaire

Le salaire varie selon deux critères essentiels : la renommée du restaurant et le poste dans la hiérarchie. Pour un simple cuisinier le salaire sera de 1513 € net/mois.

1.7.           Risques

Contrairement à bon nombre de professions, le métier de cuisinier ne risque pas de disparaître car les gens ne s’arrêteront jamais de manger. De plus, les cultures dans le monde sont très nombreuses et de nouveaux aliments ou saveurs pourraient encore être découverts.

 2.    FORMATION POUR ACCEDER A CE METIER

2.1 Diplômes possibles

Pour devenir cuisinier, il existe deux voies : on peut s’orienter dans la filière générale et se spécialiser dans l’hôtellerie restauration après le baccalauréat ou s’orienter vers une filière professionnelle dès la fin de la 3ème. Au niveau des spécialisations post bac, il y a aussi différentes voies : Licence Professionnelle, BTS …

 

2.2 Durée des études

Selon la voie choisie les études peuvent durer de 3 à 6 ans ou plus si l’on veut se spécifier dans un domaine particulier

3.    APTITUDES

3.1        Aptitudes nécessaires

Ce métier nécessite une excellente connaissance des techniques culinaires, ainsi que des matières premières (légumes, fruits, viandes / poissons, condiments, épices etc.). Il demande beaucoup de rigueur et de créativité. Il faut aussi être très résistant physiquement  pour pouvoir travailler de longues journées dans  un environnement exigeant (travail sous pression, chaleur des fourneaux, …). Il doit aussi être prêt à travailler tous les jours, parfois jusqu’à très tard le soir. Un cuisinier doit être méthodique, organisé et savoir gérer son temps de manière optimale.

 4.    DEBOUCHES

4.1 Possibilités d’évolution

De plus, au sein de cette activité, les possibilités d’évolution sont vastes : il est possible de gravir les échelons tout au long de sa carrière en évoluant en interne au sein d’une équipe (voir organigramme ci-joint). De plus, il est possible d’évoluer en changeant d’établissement, en privilégiant une structure plus importante, reconnue ou étoilée, ou de choisir un poste un poste à l’international. Tout en restant dans le domaine de la restauration, on peut soit diversifier ses compétences en apprenant d’autres spécialités que celle à laquelle on est assigné, ou au contraire se spécialiser en se concentrant sur une seule tâche (pâtisserie, poisson, viandes, …).

On peut aussi évoluer d’un poste où l’on travaille en cuisine à un poste managérial. Pour y accéder, il y a différentes solutions : on peut suivre une formation, accumuler de l’expérience dans la gérance du personnel et du stock,  dans le management d’une structure d’un point de vue humain et économique, diversifier ses compétences dans le domaine de la communication…

5.    INTERVIEW

 J’ai décidé d’intewiever mon maître de stage, Alexandre KREMER.

Moi :  » Bonjour, j’aimerais vous poser quelques question a propos du métier de cuisinier.  »

A. K.:  » Oui, installe-toi »

Moi :  » D’accord, alors tout d’abord je vous demande de m’en dire un peu plus sur vous ? »

A.K.:  » Je m’appelle Alexnadre KREMER, j’ai 30 ans et je m »intéresse à la cuisine depuis très jeune. »

Moi :  » Quelles études avez-vous faites pour exercer ce métier ? »

A.K.: « Eh bien…, je n’ai pas fait de très longues études : j’ai arrêté l’école en fin de 3ème pour commencer un apprentissage dans un restaurant. »

Moi :  » Depuis combien de temps êtes vous cuisinier ? Avez vous travaillé dans plusieurs restaurant ? »

A.K.:  » Je suis cuisinier depuis 14 ans, j’ai travaillé pendant 13 ans dans un restaurant nommé « Les Deux clés », avant d’ouvrir mon propre restaurant il y a un peu moins d’un an en Septembre 2014. »

Moi :  » Avez vous des associés, des employés ou même des stagiaires ? »

A.K.:  » Je travaille avec Amandine MISSLIN, qui s’occupe du service en salle, et nous sommes tous deux co-gérant. »

Moi :  » Avez vous des horaires conviviales ? Avez vous beaucoup de clients ? »

A.K.:  » Cela dépend des jours et du nombre de clients : s’il ya beaucoup de clients je termine assez tard, généralement 23 h 00, dans le cas contraire, je termine beaucoup plus tôt. Le nombre de clients varie aussi : le midi nous sommes souvent complets ce qui n’est pas forcément le cas le soir. »

Moi :  » Maintenant je vous pose un question un peu plus personnelle : d’où vous vient votre intérêt pour la cuisine ? »

A.K.:  » En fait j’ai été plongé dans le milieu de la restauration très tôt car mon père travaillait dans ce secteur. Il m’emmenait souvent avec lui en cuisine. Petit à petit j’ai commencé à m’intéresser à ce domaine et aujourd’hui, j’en ai fait mon métier. »

Moi :  » Très bien, merci pour ces information. »

A.K.:  » De rien, au revoir. »

Moi :  » Au revoir. »

Pour conclure j’aime bien ce métier car il est très créatif et on y est toujours actif. De plus, c’est un métier d’avenir qui n’est pas en phase de disparaître.

Sources:
http://www.lhotellerie-restauration.fr/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cuisinier
http://www.jcomjeune.com/article-metier/cuisinier-cuisiniere

Gendarme

Marie KLOPFENSTEIN 3C

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INTRODUCTION

Le gendarme est un militaire qui peut occuper des postes trés variés.  Le synonyme de ce métier est « Sous-officier de gendarmerie ».

Le métier de gendarme est un métier à risque. En gendarmerie on s’entraine 3 fois par semaine au tir, à la couse à pied et à la défense. En gendarmerie on résout des enquêtes sur des meurtres, des suicides, des accidents… Le gendarme ne passe pas son temps à enquêter. Il fait des papiers pour des procédures, des sauvetages, des interventions auprès des jeunes. Le gendarme n’a pas vraiment de planning s’il enquête : il aura des horaires normaux c’est-à-dire qu’il va commencer sa journée à 8h et la finir à 18h ; s’il n’enquête pas il peut avoir des imprévus qui vont faire qu’il va finir sa journée plus tard.

J’ai choisi le métier de gendarme car c’est un métier qui me passionne. C’est un métier où l’on doit toujours s’adapter car dans la gendarmerie on n’a jamais 2 jours qui se ressemblent.  Dans ce métier il y a un changement de situation en permanence.

 

A. Présentation détaillée du métier de gendarme

 

1.  Tâches réalisées : Les tâches dépendent du secteur où le gendarme est affecté. S’il est dans la gendarmerie mobile il va essentiellement contrôler des véhicules.

2.   Matériel utilisé : Le gendarme à un équipement bien à lui c’est-à-dire comme la plupart des gendarmes il aura son ceinturon avec son arme de service, sa bombe lacrymogène et ses menottes. Mais par la suite son équipement va changer selon son corps de métier, les techniciens des empreintes vont utiliser de la poudre pour relever des empreintes sur les scènes de crime, alors qu’un gendarme appartenant au PSIG (Peloton de Sécurité et d’Intervention de la Gendarmerie) n’aura besoin que de son bouclier, de son ceinturon et de son sang froid.

3.    Lieu de travail : Le lieu de travail peut être différent chaque jour. Par exemple un jour il pourra être dans son bureau et le lendemain sur une affaire.

Collaborateurs : Le gendarme peut travailler avec des criminels mais aussi des victimes pour mettre sous les verrous les hors-la-loi.

 

4. Horaires : Le gendarme doit être disponible 24h/24 et 7j/7 mais avec 2 jours de «congé» car 2 fois par semaine le gendarme doit rester à la caserne pour remplir des papiers. Il n’y a pas vraiment d’horaire mais en général ils commencent à 8h pour finir sous les coûts de 18h ; mais parfois il peut y avoir des contres temps qui fait que le gendarme doit reprendre le travail.

5.  Salaire : Le salaire va dépendre du grade du gendarme. Un Elève gendarme gagne 1 400 €, sous-officier 1 700 € à 2 900 € et un officier 1 800 € à 4 000 €.

 

6. Risques : Malgré tout les risques sont bel et bien présents. Lors d’une arrestation, elle peut très mal tourner. C’est pour cela que les gendarmes bénéficient d’un entraînement d’élite qui leur permet de réagir faces à toutes les situations.

 

7. Diplômes possibles : concours au niveau bac

8.   Durée des études : La durée des études est de 12 mois dans une école de sous-officier.

9.   Niveau de difficulté : Pour être gendarme il faut passer des épreuves dont celle de sport qui est très difficile.

10.   Lieux de formation : La formation se fait dans une école de sous-officier.

11. Aptitudes nécessaires : il est nécessaire d’être droit, rigoureux (euse).

12. Contre indications médicales éventuelles : pour être gendarme il ne faut pas être asthmatique ou cardiaque, malgré tout ces deux contraintes dépendent du secteur d’affectation.

 

B.  Interview

Le gendarme a la possibilité d’évoluer au saint de la caserne comme officier à lieutenant.

  • Qui peut exercer le métier de gendarme ?

Tout le monde peut être gendarme à condition d’être âgé de 18 à 36 ans.

  • Quelle sont les conditions physiques à avoir ?

Il faut être très sportif et donc en bonne conditions physiques.

  • Comment y accède-t-on ?

On y accède en passant des épreuves : une épreuve de français, de maths, d’histoire et de sport.

 

 CONCLUSION

Le métier de gendarme peut être merveilleux mais aussi tragique lorsqu’il faut apprendre le décès d’un proche à une famille. C’est un métier où l’on apprend tous les jours. On y fait jamais la même chose tous le jour. Dans ce métier il y à toujours des imprévus, par exemple on peut être au bureau et l’heure suivante sur les lieux d’un accident.

 SOURCES

http://fr.wikipedia.org/wiki/Gendarmerie_nationale_%28France%2

http://www.cinexpression.fr/les-aventures-cinematographiques-de-louis-de-funes/#sthash.Ua73jylC.dpbs

Journaliste

Elisa Lang 3B

 

Définition : Personne dont le métier est d’écrire dans un ou plusieurs journaux.

 Introduction : Mon choix se porte vers ce métier car j’ai fait mon stage à L’Alsace, qui est un journal régional. J’ai donc passé une semaine avec différents journalistes et je connais donc mieux cette profession qu’une autre.

 

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Illustration d’un journal

I – Description du métier

 Le travail d’un journaliste est d’informer ses lecteurs, auditeurs, téléspectateurs et autres sur n’importe quel sujet, le plus simplement possible. Pour cela, il doit se renseigner sur ce sujet, en faisant des enquêtes, interviews ou reportages puis rédiger toutes les informations recueillies.

Pour remplir ces tâches, un journaliste utilise un carnet pour prendre des notes, son téléphone pour se tenir au courant des prochains événements mais surtout un ordinateur pour rédiger l’article.

Il travaille dans un bureau, ainsi qu’à l’extérieur pour les différents reportages qu’il doit effectuer.

Un journaliste collabore avec la police, les avocats et toutes les personnes assez renseignées pour donner des informations intéressantes.

Les horaires d’un journaliste varient selon la rubrique dans laquelle ils travaillent. Par exemple un journaliste spécialisé dans le sport travaille le samedi et le dimanche majoritairement en raison des matchs qui sont beaucoup plus fréquents le week-end. Mais la durée du travail effectif est fixée à 35 heures par semaine.

Le salaire de débutant d’un journaliste est 1 445 € par mois, et peut atteindre les 2 100 €.

C’est une profession qui peut être à très haut risque car, dans certains pays, être journaliste est très mal vu. Les reporters sont des otages de choix et peut être la cible de pression plus ou moins importante. Plusieurs journalistes ont été retrouvés morts dans des pays étrangers. Ils reçoivent des menaces personnelles et sont amenés à enquêter dans des endroits dangereux.

Les contraintes du métier sont le manque de temps, pour enquêter et rédiger sur un sujet d’actualité. Il exige une disponibilité constante pour consacrer son travail à un événement inattendu.

Journaliste_face_camera_Opera_17.01.2009Journaliste devant la caméra

II – Formation pour accéder à ce métier

 N’importe quel diplôme donne accès au métier de journaliste. Néanmoins, pour une entrée sur le marché du travail plus facile, il faudrait faire des études généralistes après le baccalauréat, puis entrer dans une école de journalisme ou un IUT. Ces écoles de journalisme ne recrutent qu’à partir d’un bac +2 mais la plupart des candidats se présentent avec un bac +5 .

Les études faites par un journaliste durent entre 5 et 7 ans après le baccalauréat.

Le niveau de difficultés est élevé car il y a en France 13 écoles de journalisme  qui assurent une formation reconnue par la profession, et l’accès dans ces écoles est très restreint.

 

III – Aptitudes

 Les aptitudes nécessaires pour être journaliste sont la culture générale ainsi que des qualités d’expression écrite. Il faut être curieux, rigoureux et avoir un esprit créatif. Il doit aussi savoir utiliser l’informatique pour rédiger des articles, faire des mises en page correctes.

Il n’y a pas de contre-indication médicale.

KONICA MINOLTA DIGITAL CAMERAJournaliste devant la caméra

IV – Débouché

 Un journaliste peut devenir journaliste radio, reporter d’images, journaliste web, photographe de presse, rédacteur en chef, secrétaire de rédaction…

 

V – Interview

 Faut-il savoir parler plusieurs langues ?

Ce n’est pas une obligation, mais c’est toujours mieux. Cela aide à être embaucher plus rapidement.

Qui sont vos clients ? Vos fournisseurs ?

Nos clients sont les personnes abonnées au journal, ainsi que des personnes intéressées par l’actualité. Nos fournisseurs sont majoritairement des fournisseurs de papier et d’encre.

Y a-t-il plus d’hommes ou de femmes qui pratiquent cette profession ?

Il y en a presque autant, puisqu’en France les journalistes sont des femmes à 46%.

Comment vous faites-vous connaître ?

Le journal se fait connaître en apparaissant dans tous les kiosques.

 Laurence-Fischer-et-journalisteJournaliste en train de faire une interview

Conclusion

Le journalisme est un métier très difficile et très actif. Il est au centre de toute l’actualité, celle-ci qui est présente partout : sur internet, dans les journaux, à la télévision… C’est un métier très intéressant et j’admire ceux qui le pratiquent.

 

Sitographie

 

http://nl.wikipedia.org/wiki/Journalist

http://www.onisep.fr/Ressources/Univers-Metier/Metiers/journaliste

http://fr.wikipedia.org/wiki/Reportage

http://www.jcomjeune.com/article-metier/journaliste

http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Laurence-Fischer-et-journaliste.JPG

http://pixabay.com/fr/journal-actualit%C3%A9s-papier-23418/