NOM et prénom : VALLET Léa
Classe : 5ème A
Date : Jeudi 14 janvier 2016
DESCRIPTION DE L’ŒUVRE LUE
Auteur(s) :
Jeff KINNEY (écrivain) et Natalie ZIMMERMANN (traducteur)
Titre : Journal d’un dégonflé 1 carnet de bord de Greg HEFFLEY.
Editeur/Date : SEUIL (édition)/2008
première publication en anglais en 2007
première publication en français en 2008
Série : Journal d’un dégonflé.
PRESENTATION DU LIVRE
Le lieu : Dans un collège.
L’époque : XXIe siècle (aujourd’hui).
Les thèmes :
Amitié
vie quotidienne
vie de collégien(ne)
Les personnages principaux :
Greg HEFFLEY ; 12 ans ; c’est une personne ordinaire ; maigre et petit ; malin et (parfois) intelligent.
L’histoire :
Greg a 12 ans, il a un grand frère arrogant qui lui fait des blagues à longueurs de journée, un petit frère qui est le roi à la maison et des parents qui ne le comprennent pas. En plus de ça il doit supporter un copain qu’il n’aime pas trop et ses problèmes au collège, IL N’EN PEUT PLUS !!! Un jour, sa mère lui offre un journal intime qu’il rebaptise en carnet de bord.
AVIS PERSONNEL
Niveau de difficulté :
Vocabulaire : ce n’est pas très compliqué à comprendre
Longueur : c’est passable : il n’est ni trop long ni trop court
Histoire : l’histoire montre bien la vie de tout les jours d’un collégien(ne)
Avis personnel
– ce que j’ai aimé et pourquoi :
J’ai aimé le moment à Halloween car vers la fin, le père de Greg leur jette un seau d’eau sur la tête à lui et son copain.
J’ai aimé le moment où Greg et son copain font leur propre manège de la mort car c’est drôle lorsqu’ils essayent de faire sortir de sous le lit un petit de CP mort de peur.
– ce que je n’ai pas aimé et pourquoi :
Je n’ai pas aimé le moment où Greg fait une pièce de théâtre à la fête de Noël car à la fin ça n’a plus aucun sens.
Je n’ai pas aimé le moment où Greg fait de la lutte au sport car, pour moi, c’est un sport de brute.
Choix d’une phrase caractéristique avec indication de la page :
« Si elle croit que je vais écrire là dedans ce que je « ressens » ou je ne sais pas trop quoi, elle se fourre le doigt dans l’œil »
Quatrième de couverture